Table des matières

• Avant-propos
• Introduction
• Première partie. LA VOCATION MODERNE
  • Chapitre I. La vocation moderne
    • Une figure politique et économique
    • Une figure neuve
    • Une figure élitiste ?
  • Chapitre II. Jouer l’existence sur le talent
    • Le droit de se réaliser
    • Gustin mon jardinier
    • Les mines d’or du Valais
  • Chapitre III. L’activité passionnée
    • Ne tenir à rien qu’à la condition humaine
    • L’homme resserré et l’homme investi
    • L’inscription sociale de la valeur
    • La diversité dispersée
  • Chapitre IV. Consacrer sa vie
    • Les vocations particulières
    • Identité de la vocation
    • Moteur de la vocation
• Deuxième partie. LA VOCATION DE SAVOIR
  • Chapitre V. La supériorité de ceux qui savent
    • La République a-t-elle besoin de savants ?
    • Révolutionner ou commercialiser la science
    • La classe intellectuelle comme classe dangereuse
    • Le savant comme professionnel et comme héros
  • Chapitre VI. Le démocratique et l’intellectuel
    • Sur la valeur culturelle
    • Un régime de productivité
    • Le droit de produire de la culture et du savoir
    • Tout le monde, chacun, et n’importe qui
  • Chapitre VII. Désir intellectuel
    • Critiques antiques
    • Objections chrétiennes
    • Reproches et soupçons de l’âge classique
    • Réticences modernes
  • Chapitre VIII. Le désir de tout savoir
    • Ne renoncer à rien
    • Tout et beaucoup
    • Il faudrait plusieurs vies
• Troisième partie. LA VOCATION DE L’ÉRUDIT
  • Chapitre IX. L’esprit humain dans son entier
    • Le savoir ou le savant
    • Professeur ou prophète
    • Le savant de bibliothèque
    • L’enjeu du philologue
  • Chapitre X. Contre l’érudition
    • L’érudit en triste personnage
    • Critique de la connaissance érudite
  • Chapitre XI. L’existence dans le savoir
    • Des exploits héroïques
    • Des fautes dramatiques
    • Des faiblesses stériles
    • Une retraite singulière
• Épilogue. La vocation aujourd’hui
• Références