Sarko s'est tuer Gérard Davet, Fabrice Lhomme

Résumé

Abus de biens sociaux Trafic d'influence Faux et usage de faux Abus de confiance Escroquerie en bande organisée Prise illégale d'intérêts Blanchiment en bande organisée Favoritisme Corruption Détournement de fonds publics Abus de faiblesse Comment et pourquoi Nicolas Sarkozy, qui a construit sa carrière sur une image de «Monsieur Propre», se trouve aujourd'hui menacé par onze affaires en cours.

Auteur :
Davet, Gérard
Auteur :
Lhomme, Fabrice
Éditeur :
Paris, Stock,
Genre :
Essai
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (312 p.)
ISBN :
9782234078987.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • Table
  • PRÉFACE
  • I ABUS DE BIENS SOCIAUX
    L’affaire Air Cocaïne
    • « Association de malfaiteurs. »
    • « La possible commission de faits incidents impliquant l’ancien président de la République. »
  • II Trafic d’INFLUENCE
    L’affaire Azibert
    • « Je considère que mes droits sont violés, que mes droits essentiels ne sont pas garantis. »
    • « Nicolas Sarkozy accepte de l’aider à obtenir un poste à Monaco. Ces faits sont constitutifs du trafic d’influence. »
    • « On a reçu hier le mémoire du rapporteur. »
    • « Gilbert a eu accès à l’avis qui ne sera jamais publié du rapporteur, destiné à ses collègues. »
    • « Appelle-le aujourd’hui en disant que je m’en occuperai parce que moi je vais à Monaco et je verrai le prince. »
    • « Mais ne dis pas au téléphone normal que je suis à Monaco. »
    • « On a été obligés de… de dire certaines choses au téléphone. Parce qu’on a appris certaines choses. Voilà. » 
  • III FAUX ET USAGE DE FAUX
    L’affaire Bygmalion
    • « Ces fausses factures étaient confectionnées à la demande de l’UMP. »
    • « Nous n’avons plus d’argent. »
    • « Je n’ai jamais évoqué ce sujet avec Nicolas Sarkozy. »
  • IV ABUS DE CONFIANCE
    L’affaire des pénalités
    • « Ces pénalités s’adressent au candidat lui-même, qui est responsable de son compte. »
  • V ESCROQUERIE EN BANDE ORGANISEE
    L’affaire Tapie
    • « Bernard Tapie rend fous tous ceux qu’il approche et spécialement l’institution judiciaire. »
    • « Il me semble, maintenant, que j’aurais dû être plus méfiante. »
    • « M. Tapie avait fait état de ce que Bernard Kouchner serait sans doute tenté d’entrer au gouvernement. »
  • VI PRISE ILLÉGALE D’INTERETS
    L’affaire Pérol
    • « Cette annonce était sans appel et m’a été présentée comme une décision. »
    • « Avoir le plus proche collaborateur de NS servira l’intérêt du groupe. »
    • « Le fonds d’archives papier de Claude Guéant n’a pas été versé aux Archives nationales et il n’en a pas été trouvé trace dans les locaux de la présidence de la République. »
    • « Je ne sais pas comment mon nom est arrivé et par qui il a été avancé. C’est au cours d’une conversation avec le président de la République que le sujet a été évoqué avec moi. »
  • VII BLANCHIMENT EN BANDE ORGANISEE
    L’affaire kazakhe
    • « Plus de deux milliards d’euros. »
    • « Des observateurs se sont étonnés de la vitesse d’adoption de ce texte. »
    • « Corruption d’agents publics étrangers. »
  • VIII FAVORITISME
    L’affaire des sondages de l’Élysée
    • « Il y a très peu de personnes dont je puisse dire : si je suis là, c’est grâce à eux. Patrick Buisson est de ceux-là. »
    • « Aucune des possibilités offertes par le Code des marchés publics n’ont été appliquées. »
    • « Il apparaît que le contrat litigieux est susceptible d’avoir été signé à la demande ou, à tout le moins, avec l’accord du chef de l’État. »
    • « Il apparaît que lesdits documents n’ont pas été conservés à la présidence de la République. »
  • IX CORRUPTION
    L’affaire libyenne
    • « En tout cas, moi je suis décidé à le mettre sur la presse si je veux. »
    • « Aussitôt le Président a pensé que tout ça pouvait correspondre à un montage pour qu’il raconte n’importe quoi pour avoir des papiers. »
    • « J’ai été contacté par le président Sarkozy me reparlant de cette affaire sur laquelle je n’avais aucune information. »
    • « M. Guéant était persuadé que je détenais des preuves de ce financement. »
    • « Trois personnes susceptibles de détenir des renseignements sur le financement par la Libye de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. »
    • « Je n’ai pas relaté d’informations à M. Brisard sur le financement de la campagne de M. Sarkozy. »
  • X DETOURNEMENT DE FONDS PUBLICS
    L’affaire de Karachi
    • « L’audition du ministre du Budget […] n’a pu être réalisée, celui-ci relevant du statut de témoin assisté et donc de la compétence de la Cour de justice de la République. »
    • « J’ai jamais été ministre de la Défense, je suis pas au courant des contrats de sous-marins négociés à l’époque avec un président qui s’appelle M. Mitterrand. »
    • « On doit boucler les comptes, il nous manque 3 millions et quelques. »
  • XI ABUS DE FAIBLESSE
    L’affaire Bettencourt
    • « Vous n’imaginez pas M. Nicolas Sarkozy ou M. Ouart m’interroger sur des affaires que je pouvais traiter. »
    • « Le parquet a multiplié les obstacles tout le long de la procédure devant le tribunal. »
    • « Dis-moi, juste une petite nouvelle. M. Gentil, ça y est, il est à la transparence. »
    • « Elle réitérait ses affirmations concernant la demande de Patrice de Maistre de lui remettre 150 000 euros “pour donner à M. Woerth”. »
  • ÉPILOGUE
  • LA SARKOZIE EN EXAMEN
    Outre l’ancien chef de l’État lui-même, ils sont nombreux dans son proche entourage à être aux prises avec la justice dans le cadre de dossiers politico-financiers. Ils contestent tous les accusations portées à leur encontre. Perquisitionnés, placés sur écoute, gardés à vue, témoins assistés, mis en examen, condamnés… Inventaire – non exhaustif –, sachant que chacun est considéré comme présumé innocent tant qu’il n’a pas été jugé définitivement coupable.
    • ANNEXE 1
      Garde à vue de Nicolas Sarkozy
      le 1er juillet 2014
    • ANNEXE 2
      Interrogatoire de Nicolas Sarkozy
      le 2 juillet 2014
    • ANNEXE 3
      Audition de Nicolas Sarkozy
      le 10 octobre 2013

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