Initiation à la linguistique française : 2e édition Jacques Moeschler, Sandrine Zufferey

Résumé

Initiation à la linguistique française présente de manière accessible mais complète les domaines de la linguistique : langage et communication, phonétique et phonologie, syntaxe, morphologie, sémantique, pragmatique. Cette synthèse offre aussi un état actuel des connaissances en philosophie du langage et de l'esprit, psychologie cognitive, neurosciences et pragmatique cognitive. Conçu à partir d'un cours universitaire accompagné de travaux pratiques, cet ouvrage est le fruit d'une longue expérience d'enseignement auprès d'étudiants de littérature, de linguistique et de psychologie en première année de licence.

Auteur :
Moeschler, Jacques
Auteur :
Zufferey, Sandrine
Éditeur :
Paris, Armand Colin,
Collection :
Cursus
Genre :
Manuel
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (246 p.)
ISBN :
9782200601782.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • Sommaire
  • Avant-propos
  • Première partie Introduction à la linguistique française
    • Chapitre 1 Introduction à l’étude du langage
      • 1. Affirmations ordinaires et questions non ordinaires sur le langage
      • 2. À quoi sert le langage ?
      • 3. Qu’est-ce que le langage ?
        • 3.1. Tous les êtres humains parlent au moins une langue
        • 3.2. L’acquisition du langage
        • 3.3. L’évolution du langage
        • 3.4. Les langues sont des systèmes complexes
        • 3.5. Communication verbale et communication animale
        • 3.6. Le langage est spécifique à l’espèce humaine
      • 4. Comment étudier le langage ?
      • 5. Références de base
      • 6. Pour aller plus loin
    • Chapitre 2 Langage et communication
      • 1. Communication littérale et communication non littérale
      • 2. Pourquoi la communication est-elle non littérale ?
      • 3. Modèle du code et modèle de l’inférence
        • 3.1. Le modèle du code
        • 3.2. Le modèle de l’inférence
      • 4. Signification de la phrase et sens de l’énoncé
        • 4.1. Phrase et énoncé
      • 5. L’enrichissement pragmatique
        • 5.1. Implicitations et explicitations
        • 5.2. Spécification et élargissement
      • 6. La pertinence
        • 6.1. Pourquoi la communication est-elle non littérale ?
        • 6.2. Comment comprenons-nous les énoncés non littéraux ?
      • 7. Références de base
      • 8. Pour aller plus loin
    • Chapitre 3 Le langage et les langues
      • 1. Origine du langage et évolution
      • 2. Pidgins et créoles
      • 3. Les langues du monde
        • 3.1. Diversité et similitudes entre les langues
        • 3.2. Le groupement des langues en familles
        • 3.3. Les familles de langues du monde
        • 3.4. La répartition des locuteurs entre les langues
      • 4. Les langues en danger
      • 5. Les langues indo-européennes
        • 5.1. La dissémination des langues indo-européennes
      • 6. Références de base
      • 7. Pour aller plus loin
    • Chapitre 4 Histoire et variétés du français
      • 1. Qu’est-ce que le français ?
        • 1.1. Le groupe des langues romanes
        • 1.2. En quoi le français se distingue-t-il des autres langues romanes ?
        • 1.3. Les influences du germanique sur le français actuel
      • 2. Quelques éléments de l’histoire de France et du français
        • 2.1. Avant l’arrivée du latin
        • 2.2. La latinisation de la Gaule
        • 2.3. La transition du latin au français
        • 2.4. L’affirmation du français
      • 3. Quelques témoignages de la naissance du français
      • 4. Français et francophonie
      • 5. Références de base
      • 6. Pour aller plus loin
    • Chapitre 5 Une brève histoire de la linguistique contemporaine : de Saussure à Chomsky
      • 1. Saussure et les fondements de la linguistique structurale
        • 1.1. La naissance de la linguistique moderne
        • 1.2. La méthode de Saussure
        • 1.3. Langue et parole
        • 1.4. Linguistique synchronique et diachronique
        • 1.5. Le signe linguistique
        • 1.6. Les rapports entre signes
        • 1.7. En résumé
      • 2. Chomsky et la grammaire générative
        • 2.1. Un nouveau programme pour la linguistique
        • 2.2. Une approche rationaliste de la linguistique
        • 2.3. La notion de langue interne
        • 2.4. Grammaire universelle et faculté de langage
        • 2.5. La notion de grammaire générative
        • 2.6. En résumé
      • 3. Références de base
      • 4. Pour aller plus loin
  • Deuxième partie Les domaines de la linguistique française
    • Chapitre 6 Phonétique et phonologie du français
      • 1. Les unités d’analyse linguistique : du son à la phrase
      • 2. Les unités de l’écrit et de l’oral
      • 3. Éléments de phonétique articulatoire
        • 3.1. Consonnes, voyelles et semi-voyelles
        • 3.2. Les voyelles et semi-voyelles du français
        • 3.3. Les consonnes du français
      • 4. Éléments de phonologie
        • 4.1. La notion de phonème
        • 4.2. Commutation et permutation de phonèmes
        • 4.3. La méthode des paires minimales
      • 5. Enchaînement et liaison
      • 6. Références de base
      • 7. Pour aller plus loin
    • Chapitre 7 Morphologie du français
      • 1. La notion de morphème
        • 1.1. Pourquoi s’intéresser aux morphèmes plutôt qu’aux mots ?
        • 1.2. Types de morphèmes
      • 2. La décomposition des mots en morphèmes
      • 3. Comment sont formés les mots en français ?
        • 3.1. La flexion
        • 3.2. La dérivation
        • 3.3. La composition
        • 3.4. Autres processus de formation des mots
      • 4. Morphologie et faculté de langage
        • 4.1. Morphologie et lexique
        • 4.2. L’acquisition des règles de morphologie
        • 4.3. La morphologie dans le cerveau
      • 5. Références de base
      • 6. Pour aller plus loin
    • Chapitre 8 Catégories et syntagmes
      • 1. Grammaire et syntaxe
      • 2. Les puristes
      • 3. La syntaxe
      • 4. Mots et catégories grammaticales
        • 4.1. Les catégories grammaticales lexicales et non lexicales
        • 4.2. Sous-catégories et traits grammaticaux
        • 4.3. Catégories grammaticales, fonctions grammaticales et fonctions sémantiques
      • 5. La notion de syntagme
        • 5.1. La structure des syntagmes
        • 5.2. Tests pour l’identification des syntagmes
      • 6. Références de base
      • 7. Pour aller plus loin
    • Chapitre 9 Syntaxe de la phrase simple et complexe en francais
      • 1. Règles et normes
      • 2. Structure hiérarchique
        • 2.1. Structure hierarchique des syntagmes
        • 2.2. Structure de la phrase simple
        • 2.3. Le syntagme determinant
        • 2.4. La notion de complémenteur et la phrase complexe
        • 2.5. Structure des phrases relatives
      • 3. Références de base
      • 4. Pour aller plus loin
    • Chapitre 10 Sémantique du français
      • 1. Signification, concept et dénotation
      • 2. Sémantique compositionnelle
      • 3. Sémantique lexicale : les relations de sens
        • 3.1. Hyponymie et méronymie
        • 3.2. Synonymie
        • 3.3. Antonymie et complémentarité
      • 4. La signification des noms et des verbes
        • 4.1. Noms massifs et comptables
        • 4.2. Les classes aspectuelles des verbes
      • 5. Polysémie et coercion sémantique
      • 6. Références de base
      • 7. Pour aller plus loin
    • Chapitre 11 Langage et action : les actes de langage
      • 1. Les débuts de la pragmatique : Austin
        • 1.1. Constatifs et performatifs
        • 1.2. Actes locutionnaire, illocutionnaire et perlocutionnaire
      • 2. La théorie des actes de langage de Searle
      • 3. Les actes de langage indirects
      • 4. Théorie des actes de langage et pragmatique contemporaine
        • 4.1. Problèmes et limites de la théorie des actes de langage
        • 4.2. Actes de langage et pragmatique cognitive
      • 5. Références de base
      • 6. Pour aller plus loin
    • Chapitre 12 Pragmatique lexicale : expressions référentielles, temps verbaux et connecteurs
      • 1. Signification conceptuelle et signification procédurale
      • 2. Les expressions référentielles
        • 2.1. Expressions référentielles autonomes et non autonomes
        • 2.2. Référence actuelle et référence virtuelle
        • 2.3. L’anaphore
      • 3. Les temps verbaux
        • 3.1. L’approche aspectuelle
        • 3.2. L’approche anaphorique
        • 3.3. L’approche pragmatique
      • 4. Les connecteurs pragmatiques
        • 4.1. Portée des segments reliés par des connecteurs
        • 4.2. Contenu des segments reliés par des connecteurs
        • 4.3. Connecteurs et sous-spécification
      • 5. Références de base
      • 6. Pour aller plus loin
    • Chapitre 13 Questions de style : métaphore, métonymie et ironie
      • 1. Différents points de vue sur les questions de style
        • 1.1. La rhétorique classique
        • 1.2. Le point de vue de l’analyse pragmatique
        • 1.3. Les avantages de l’analyse pragmatique
      • 2. Métaphore et pragmatique lexicale
        • 2.1. Comment fonctionne la métaphore ?
      • 3. Métonymie et espaces mentaux
      • 4. Ironie et usage échoïque du langage
        • 4.1. Problèmes de l’analyse rhétorique de l’ironie
        • 4.2. L’analyse pragmatique de l’ironie
      • 5. Références de base
      • 6. Pour aller plus loin
  • Bibliographie
  • Corrigé des questions de révision
    • Chapitre 1 : Introduction à l’étude du langage
      • 1.1. Quelles sont les deux fonctions envisagées pour le langage ?
      • 1.2. Quels sont les arguments en faveur de chacune d’elles et quels contre-arguments peut-on y opposer ?
        • La fonction sociale du langage
        • La fonction cognitive du langage
      • 1.3. Qu’est-ce que la théorie de l’esprit et en quoi cette faculté est-elle utile pour communiquer ?
      • 1.4. La théorie de l’esprit est-elle spécifique à l’être humain ?
      • 1.5. Pourquoi l’acquisition du langage ne peut-elle pas être expliquée par un simple phénomène d’imitation comme le prévoit le modèle social ?
      • 1.6. Quelles sont les principales étapes de l’acquisition du langage ?
      • 1.7. Quelles sont les aires cérébrales impliquées dans la faculté de langage et à quoi servent-elles ?
      • 1.8. Citer et expliquer les critères qui permettent de distinguer la communication humaine de la communication animale
    • Chapitre 2 : Langage et communication
      • 2.1. Pourquoi la communication verbale ne peut-elle être expliquée de manière satisfaisante par le modèle du code ?
      • 2.2. Donner un exemple qui illustre le rôle de l’ostension dans la communication verbale
      • 2.3. Donner un exemple qui illustre le rôle des inférences dans la communication verbale
      • 2.4. Quels sont les critères qui permettent de définir un énoncé par opposition à une phrase ? Donner des exemples de phrases et d’énoncés
      • 2.5. L’énoncé suivant peut avoir différents sens : Il est quatre heures. Donner trois exemples de contextes qui correspondent à des sens différents et dire quelles sont les hypothèses contextuelles utilisées dans chaque contexte
      • 2.6. Comment les énoncés ci-dessous doivent-ils être enrichis pour arriver à la bonne forme propositionnelle ? (utiliser les notions de spécification et d’élargissement)
      • 2.7. Donner les prémisses et les conclusions implicitées des énoncés ci-dessous
      • 2.8. Résumer la manière dont la théorie de la pertinence explique la communication non littérale à l’aide d’un exemple
    • Chapitre 3 : Le langage et les langues
      • 3.1. Pourquoi la question de l’évolution du langage est-elle si controversée ?
      • 3.2. Quels types de preuves peut-on avancer pour étayer des hypothèses dans ce domaine ?
      • 3.3. Quelles sont les caractéristiques des pidgins et des créoles ?
      • 3.4. Pourquoi l’étude des créoles nous renseigne-t-elle sur la question de l’évolution du langage ?
      • 3.5. Le nombre de locuteurs que compte une famille de langues est-il nécessairement proportionnel à son importance géographique et au nombre de langues qui la composent ? Que peut-on en conclure ?
      • 3.6. Parmi l’ensemble des langues du globe, combien sont vouées à disparaître d’ici la fin du siècle ?
      • 3.7. Quels sont les facteurs qui conduisent à la mort d’une langue ?
      • 3.8. D’où viennent les langues européennes ? Que sait-on de cette ancienne langue commune ?
    • Chapitre 4 : Histoire et variétés du français
      • 4.1. À quel sous-groupe de la famille des langues indo-européennes appartient le français ?
      • 4.2. Peut-on situer le français encore plus précisément à l’intérieur de ce groupe ? Sur la base de quels critères a-t-on établi cette distinction ?
      • 4.3. Quelles sont les raisons historiques pour lesquelles le français s’est différencié des autres langues du groupe ?
      • 4.4. Comment l’influence du germanique est-elle reflétée dans le français actuel ?
      • 4.5. Quel est le premier texte qui a été écrit en français et de quand date-t-il ?
      • 4.6. Quel est l’intérêt actuel des écrits en très ancien français pour les linguistes ?
      • 4.7. Qu’est-ce que l’ordonnance de Villers-Cotterêts et de quand date-t-elle ?
      • 4.8. À partir de quelle époque le français a-t-il été normalisé et par qui ?
      • 4.9. Comment peut-on définir la notion de francophonie ?
    • Chapitre 5 : Une brève histoire de la linguistique contemporaine : de Saussure à Chomsky
      • 5.1. Quel doit être l’objet d’étude de la linguistique selon Ferdinand de Saussure ?
      • 5.2. Expliquer les notions de signifiant et de signifié. Illustrez avec le mot chat
      • 5.3. Pourquoi les signes linguistiques sont-ils arbitraires selon Saussure ?
      • 5.4. Quelle est la différence entre la signification et la valeur d’un signe ? Illustrez à l’aide du mot cheval.
      • 5.5. Selon Saussure, les relations entre signes peuvent être syntagmatiques ou paradigmatiques. Expliquer ces deux types de relation et donner des exemples pour chacune d’elles.
      • 5.6. À quels courants de pensée Chomsky s’oppose-t-il dans sa définition de la linguistique ?
      • 5.7. Pourquoi Chomsky parle-t-il de grammaire générative ?
      • 5.8. Qu’appelle-t-on un jugement de grammaticalité ?
    • Chapitre 6 : Phonétique et phonologie du français
      • 6.1. Donner quelques exemples de chaque niveau d’analyse linguistique à partir du texte ci-dessous.
      • 6.2. Dire à quel(s) domaine(s) d’étude de la linguistique chaque unité identifiée ci-dessus correspond traditionnellement
      • 6.3. Qu’est-ce qu’un phonème par opposition à un son ? Donner trois exemples de phonèmes du français
      • 6.4. Quelles sont les réalisations graphiques possibles du son [ɛ] en français ?
      • 6.5. Expliquer les notions de trait pertinent et de différence fonctionnelle. Donner des exemples
      • 6.6. Quelle est la définition de la consonne, de la voyelle et de la semi-voyelle ?
      • 6.7. À quoi sert la méthode des paires minimales ? Donner un exemple pour la paire de voyelles orales mi-fermées et mi-ouvertes.
      • 6.8. Quels sont les enchaînements ou les liaisons contenus dans les phrases ci-dessous ?
    • Chapitre 7 : Morphologie du français
      • 7.1. Chercher les allomorphes des verbes suivants : pouvoir / payer. S’agit-il de variantes conditionnées ou libres ?
      • 7.2. Faire une décomposition en morphèmes des mots rechargeables, intrigante, antilopes.
      • 7.3. Qu’est-ce qu’un affixe ?
      • 7.4. Quelles sont les caractéristiques des suffixes flexionnels ? Donnez trois exemples de suffixes flexionnels du français.
      • 7.5. Comment peut-on former un mot par dérivation ?
      • 7.6. Quelles sont les caractéristiques formelles qui permettent de reconnaître un mot composé par opposition à un mot construit par dérivation ?
      • 7.7. Qu’est-ce qui différencie les mots composés des autres syntagmes ?
      • 7.8. Comment peut-on adapter le test du wug pour le rendre utilisable en français ?
    • Chapitre 8 : Catégories et syntagmes
      • 8.1. Pourquoi les puristes condamnent-ils les usages suivants : des dégâts conséquents, débuter quelque chose, un faux prétexte, indifférer, avoir une opportunité ?
      • 8.2. Les phrases suivantes sont-elles grammaticales et/ou interprétables ?
      • 8.3. Qu’est-ce qu’une catégorie grammaticale ? Donner des exemples d’éléments appartenant aux catégories lexicale, non lexicale et syntagmatique
      • 8.4. La classification des éléments en catégories est-elle suffisante pour éviter de produire des phrases agrammaticales ? Pourquoi ?
      • 8.5. Indiquer les catégories grammaticales, les fonctions grammaticales et les fonctions sémantiques des éléments entre crochets. Que peut-on conclure des résultats obtenus ?
      • 8.6. Donner deux exemples de computations syntaxiques et expliquer pourquoi ces opérations sont utiles pour le linguiste
      • 8.7. Expliquer au moyen des tests pour l’identification des syntagmes que les élements entre crochets forment une unité en (1) mais pas en (2).
    • Chapitre 9 : Syntaxe de la phrase simple et complexe
      • 9.1. Parmi les deux phrases ci-dessous, laquelle peut-être considérée comme fausse pour des raisons de normes et laquelle est syntactiquement agrammaticale ?
      • 9.2. Expliquer les principes de l’analyse hiérarchique des phrases.
      • 9.3. Faire une analyse en arbre des phrases suivantes.
      • 9.4. Comment peut-on expliquer la différence de placement de l’adverbe jamais entre ces deux phrases :
      • 9.5. Qu’est-ce qu’un complémenteur ?
      • 9.6. Qu’est ce que le principe de récursivité ?
      • 9.7. Pourquoi ce principe est-il fondamental pour caractériser le langage humain ?
      • 9.8. Comment peut-on expliquer l’agrammaticalité des phrases ci-dessous :
    • Chapitre 10 : Sémantique du français
      • 10.1. À quoi servent les concepts ?
      • 10.2. Indiquer les prédicats et les arguments des propositions suivantes :
      • 10.3. Quels sont les différents types de relations d’opposition du lexique ?
      • 10.4. Quels sont les points communs et les différences entre les relations d’hyponymie et de méronymie ?
      • 10.5. Donner des exemples de noms massifs et comptables
      • 10.6. À quelle classe aspectuelle appartiennent les constructions verbales suivantes : manger chinois, écrire une lettre, concrétiser un plan, être heureux ? Justifier au moyen de tests linguistiques
      • 10.7. Indiquer par des exemples les changements de type qui peuvent intervenir entre les divers sens des mots suivants : biberon, kleenex, bière
      • 10.8. Expliquer le phénomène de la coercion au moyen des phrases suivantes :
    • Chapitre 11 : Langage et action : les actes de langage
      • 11.1. Dire si les énoncés ci-dessous sont des constatifs ou des performatifs selon la définition d’Austin
      • 11.2. Appliquer le test de la performativité aux exemples ci-dessus afin de montrer pourquoi de tels exemples ont conduit Austin à abandonner sa distinction
      • 11.3. Quels sont les actes locutionnaires, illocutionnaires et perlocutionnaires réalisés dans les énoncés ci-dessous ?
      • 11.4. Expliquer la distinction entre le marqueur de force illocutionnaire et le marqueur de contenu propositionnel à l’aide d’un exemple
      • 11.5. Dire quels sont les actes de langage primaires et secondaires réalisés par les énoncés ci-dessous et expliquer comment le locuteur peut comprendre l’acte primaire à partir de l’acte secondaire dans chaque cas
      • 11.6. Pourquoi peut-on conclure que les seuls vrais actes de langage sont les actes représentatifs et directifs ?
      • 11.7. Dire si les exemples ci-dessous sont des actes de dire que, dire de ou demander si
    • Chapitre 12 : Pragmatique lexicale : expressions référentielles, temps verbaux et connecteurs
      • 12.1. Quelle est la différence entre la signification descriptive et la signification procédurale ?
      • 12.2. Identifier les expressions lexicales et non lexicales dans la phrase suivante : Je me sens ici comme à la maison
      • 12.3. Chercher un exemple d’expression référentielle autonome et non autonome
      • 12.4. Chercher des exemples d’anaphore pronominale, nominale et associative
      • 12.5. Qu’appelle-t-on l’ordre temporel ?
      • 12.6. Comment les temps verbaux influencent-ils l’ordre temporel dans le discours ?
      • 12.7. Qu’est-ce qu’un connecteur pragmatique ?
      • 12.8. Pourquoi les connecteurs sont-ils des marques procédurales ?
    • Chapitre 13 : Questions de style : métaphore, métonymie et ironie
      • 13.1. Donner deux exemples qui illustrent la différence entre métaphore ordinaire et métaphore créative
      • 13.2. En quoi la notion de ressemblance interprétative est-elle importante pour comprendre l’interprétation des métaphores ?
      • 13.3. Quelle est la différence entre une implicitation forte et une implicitation faible ?
      • 13.4. En quoi la métonymie est-elle différente de la métaphore ?
      • 13.5. Comment peut-on expliquer la possibilité ou l’impossibilité des reprises anaphoriques ci-dessous selon la théorie des espaces mentaux :
      • 13.6. Donner un exemple qui illustre la différence entre usage descriptif et usage interprétatif du langage
      • 13.7. Comment la théorie pragmatique de l’ironie explique-t-elle que seule la réponse (1) peut être interprétée comme une marque d’ironie ?
  • Index
  • Index
    • A
    • C
    • G
    • S
    • a
    • b
    • c
    • d
    • e
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