Poésie complète César Vallejo traduit de l'espagnol (Pérou) et présenté par Nicole Réda-Euvremer

Résumé

Né à Santiago de Chuco (Pérou) en 1892, César Vallejo est une figure majeure de la révolution moderne mondiale. Il publie ses deux premiers recueils de poèmes - Les hérauts noirs (1919) et Trilce (1922) - dans son pays natal, avant de venir s'établir en France, où il mènera une existence précaire de 1923 à sa mort. Engagé politiquement- il voyage en URSS, s'inscrit au parti communiste espagnol - il compose dans les dernières années de sa vie le cycle inachevé des Poèmes humains. II se rend plusieurs fois en Espagne au début de la guerre civile et meurt à Paris en avril 1938. Soutenu de son vivant par Pablo Neruda, salué très tôt par des auteurs aussi importants que Vicente Huidobro ou Octavio Paz, il est considéré comme l'un des plus grands poètes sud-américains du XXe siècle. Cette nouvelle traduction en français de sa Poésie complète s'ouvre évidemment sur les deux seuls recueils publiés par Vallejo de son vivant. Viennent ensuite les textes rédigés pendant l'exil européen et qui paraîtront à titre posthume: Poèmes en prose et Poèmes humains, auxquels s'ajoute Espagne, éloigne de moi ce calice, la suite qu'il avait composée dans les derniers mois de sa vie, après son séjour aux côtés des républicains espagnols.

Auteur  :
Vallejo, César (1892-1938)
Contributeur  :
Réda-Euvremer, Nicole
Éditeur :
Flammarion,
Collection :
Poésie-Flammarion
Genre :
Poésie
Langue :
français.
Note :
Portr. en frontispice
Description du livre original :
1 vol. (400 p.) : front., couv. ill. ; 20 cm
ISBN :
9782081211247.
Domaine public :
Non
Téléchargement du livre au format PDF pour « Poésie complète »

Table des matières

  • Préface
  • Les hérauts noirs (1919)
    • Les hérauts noirs
    • Soffites
      • Défeuillaison sacrée
      • Communion
      • Nervaison d’angoisse
      • Bordages de glace
      • Nuit de Noël
      • Braises
      • Clairobscur
      • Saule
      • Absent
      • Autruche
      • Sous les peupliers
    • Plongeurs
      • L’araignée
      • Babel
      • Pèlerinage
      • La loge étroite
    • De la terre
      • … ?
      • Le poète à son aimée
      • Été
      • Septembre
      • Lies
      • Impie
      • La coupe noire
      • Décalage
      • Fresque
      • Gypse
    • Nostalgies Impériales
      • Nostalgies Impériales
        • I
        • II
        • III
        • IV
      • Vantaux d’ébène
      • Tercet autochtone
        • I
        • II
        • III
      • Oraison du chemin
      • Poterie inca
      • Mai
      • Paysanne
      • Idylle morte
    • Tonnerres
      • Dans les boutiques grecques
      • Agape
      • La voix du miroir
      • Rose Blanche
      • Gros lot ce soir
      • Notre Pain
      • Absolue
      • Nu fait de boue
      • Capitulation
      • Lignes
      • Amour interdit
      • La cène misérable
      • Pour l’âme impossible de mon aimée
      • L’éternelle couche nuptiale
      • Les pierres
      • Retable
      • Païenne
      • Les dés éternels
      • Les anneaux fatigués
      • Légende des Saints
      • Pluie
      • Amour
      • Dieu
      • Unité
      • Les muletiers
    • Chansons du foyer
      • Dentelle de fièvre
      • Les pas lointains
      • À mon frère Miguel
      • Énéréide
      • Vespergenèse
  • Trilce (1922)
    • I
    • II
    • IV
    • V
    • VI
    • VII
    • VIII
    • X
    • XI
    • XII
    • XIII
    • XIV
    • XV
    • XVI
    • XVII
    • XVIII
    • XIX
    • XX
    • XXI
    • XXII
    • XXIII
    • XXIV
    • XXV
    • XXVI
    • XXVII
    • XXVIII
    • XXIX
    • XXX
    • XXXI
    • XXXII
    • XXXIII
    • XXXIV
    • XXXV
    • XXXVI
    • XXXVII
    • XXXVIII
    • XXXIX
    • XL
    • XLI
    • XLII
    • XLIII
    • XLIV
    • XLV
    • XLVI
    • XLVII
    • XLVIII
    • XLIX
    • L
    • LI
    • LII
    • LIII
    • LIV
    • LV
    • LVI
    • LVII
    • LVIII
    • LIX
    • LX
    • LXI
    • LXII
    • LXIII
    • LXIV
    • LXV
    • LVI
    • LVII
    • LVIII
    • LXIX
    • LXX
    • LXXI
    • LXXII
    • LXXIII
    • LXXIV
    • LXXV
    • LXXVI
    • LXXVII
  • Poèmes de Paris (1923-1937)
    • I. Poèmes en prose
      • La violence des heures
      • Le bon sens
      • Le moment crucial de la vie
      • Les fenêtres ont tressailli
      • Je vais parler de l’espérance
      • Languissamment sa liqueur
      • Découverte de la vie
      • Une femme aux seins paisibles
      • Cesse le désir, queue au vent
      • Personne n’habite plus la maison
      • Il existe un mutilé
      • Répertoire d’os
      • Quelque chose t’identifie
      • Quatre consciences
      • Entre la douleur et le plaisir
      • Au moment où le joueur de tennis
      • J’en ris
      • Voici qu’aujourd’hui je salue
      • Dos des Saintes Écritures
    • II. Poèmes humains
      • En haut et à ras du poil
      • Chapeau, manteau, gants
      • Salutation angélique
      • Épître aux passants
      • Et c’est comme ça
      • Glèbe
      • Printemps tubéreux
      • Pierre noire sur une pierre blanche
      • Douceur pour douceur encœure
      • Jusqu’au jour où je reviendrai
      • Ce fut dimanche dans les claires oreilles de mon âne
      • La vie, cette vie
      • Aujourd’hui j’aime beaucoup moins la vie
      • Je voudrais aujourd’hui être tout bonnement heureux
      • De trouble en trouble
      • Considérant à froid, impartialement
      • Et si à tant de paroles
      • Finalement, sans ce bon arôme successif
      • En arrêt sur une pierre
      • Les mineurs sont sortis de la mine
      • Mais avant que ne s’achève
      • Tellurique et magnétique
      • Les vieux ânes pensent
      • La roue de l’affamé
      • Les déshérités
      • Paris, Octobre 1936
      • Chaleur, fatigué je vais avec mon or, là où
      • Un pilier supportant des consolations
      • Quand on réfléchit à la vie, quand on réfléchit
      • Poème pour être lu et chanté
      • L’accent pend à mon soulier
      • La pointe de l’homme,
      • Oh bouteille sans vin ! Oh vin
      • Il va courant, marchant, fuyant
      • À la fin, une montagne
      • Ma poitrine veut et ne veut pas sa couleur
      • Ceci
      • Voilà que j’ai chauffé l’encre où je me noie
      • La paix, la guêpe, le talon, les versants
      • Transi, salomonien, convenable
      • Eh bien ? Le pâle métalloïde te guérit-il ?
      • J’ai tellement chaud que j’ai froid
      • Fais confiance aux lunettes, non à l’œil
      • Raillé, acclimaté au bien, maladif
      • Alfonso : tu me regardes, je le vois
      • Faux pas entre deux étoiles
      • Séparation rappelant un adieu
      • Si cela se trouve, je suis un autre
      • Le livre de la nature
      • Marche nuptiale
      • J’ai une peur terrible d’être un animal
      • La colère qui casse l’homme en enfants,
      • Intensité et altitude
      • Guitare
      • Entends ta masse, ta comète, écoute-les ; ne gémis pas
      • Que m’arrive-t-il, si je me fouette avec la ligne
      • Anniversaire
      • Mausolée
      • Un homme regarde une femme
      • Deux enfants pleins de désir
      • Les neuf monstres
      • Un homme passe portant un pain sur l’épaule
      • Il me vient certains jours une envie profuse, politique
      • Aujourd’hui elle s’est planté une écharde.
      • Battements de mains et guitare
      • L’âme qui a souffert d’être son corps
      • Jougs
      • Vient de passer celui qui doit venir
      • Qu’il soit tout nu, nu comme un ver, le millionnaire
      • Quand bien même viendrait le mauvais, avec un trône sur l’épaule
      • À rebours des oiseaux de la montagne,
      • Le fait est que le lieu où j’enfile
      • Somme toute je n’ai pour exprimer ma vie
      • Encore un peu de calme, camarade
      • Sermon sur la mort
    • III. Espagne, écarte de moi ce calice
      • I. Hymne aux volontaires de la République
      • II. Batailles
      • III
      • IV
      • V. Image espagnole de la mort
      • VI. Cortège après la prise de Bilbao
      • VII
      • VIII
      • IX. Petit répons pour un héros de la République
      • X. Hiver durant la bataille de Teruel
      • XI
      • XII. Masse
      • XIII. Funèbres roulements de tambours pour les décombres de Durango
      • XIV
      • XV. Espagne, écarte de moi ce calice

Commentaires

Laisser un commentaire sur ce livre