Votre recherche “Auteur: Marcel Jouhandeau” 5 résultats
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Éditeur :
Gallimard, 1991
Longtemps après le meurtre, Juste commença de se parler à lui-même : «Ai-je voulu tuer ? Qui ai-je tué ? Qui ai-je voulu tuer ? » se demandait-il et il se répondait : «Peut-être n'ai-je voulu que disperser un cauchemar, en faisant du bruit ? [...] C'est le visage le plus aimé de moi, le seul visage de ma mère que j'ai cru atteindre. Je ne pouvais plus voir ma mère Agnès, contrefaite ainsi par le ...(Lire la suite)
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Éditeur :
Gallimard, 1984
Il y a soixante ans, Marcel Jouhandeau publiait un de ses chefs-d’œuvre, Les Pincengrain.
Il y raconte la jeunesse des trois sœurs Pincengrain : Prisca, Véronique, d'une maigreur extrême, qui rencontre M. Godeau et l'aime. Ainsi, pour Jouhandeau, ce détrousseur d'âmes, commençait l'étonnante galerie de créatures étranges dont il a peuplé la petite ville qu'il appelle Chaminadour.
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Éditeur :
Editions Gallimard, 1978
Sur les instance du professeur Caroli, Élise atteinte d'artérite entre à la clinique Ambroise-Paré de Neuilly pour y être opérée d'urgence le 10 octobre 1970.
Ramenée à Rueil en novembre, elle y meurt le 16 mars suivant, à 22 heures.
À travers un tel événement qui bouleverse sa vie de fond en comble, Jouhandeau poursuit dans son Journal l'analyse implacable de ses rapports avec l'extraordinaire É...(Lire la suite)
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Éditeur :
Editions Gallimard
Les courts tableaux de Prudence Haute-chaume, où se joue chaque fois un destin, empruntent leurs moyens au mystère comme à l'enluminure. Ce sont autant d'approches amoureuses et patientes d'un être.Pour chacun de ces portraits, l'écrivain trouve, en peintre cruel et raffiné de l'humanité qu'il est, la différence irréductible qui va lui donner nom et visage.
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Éditeur :
Gallimard, 1991
Longtemps après le meurtre, Juste commença de se parler lui-même : "Ai-je voulu tuer ? Qui ai-je tué ? Qui ai-je voulu tuer ?" se demandait-il et il se répondait : "Peut-être n'ai-je voulu que disperser un cauchemar, en faisant du bruit ? (...) C'est le visage le plus aimé de moi, le seul visage de ma mère Agnès, contrefaite ainsi par le mal et par le malheur, sans la tuer ou mourir, et comme je ...(Lire la suite)