Les mystères de Morley Court : une chronique de la vieille cité de Dublin : roman Joseph Sheridan Le Fanu traduit de l'anglais (Irlande) par Patrick Reumaux

Résumé

Sur le manoir de Morley Court règne Richard Ashwood. Tyron sadique, il n'hésite pas à spolier sa fille et des biens et à la promettre à un vieillard odieux. Quant à Henry, le fils, il ne vaut guère mieux... Jouisseur et joueur éffréné, il vend sa sœur pour rembourser ses dettes. De machinations sinistres en rebondissements inattendus, de tripots mal famés en salons aristocratiques, Le Fanu réunit dans le Dublin du XVIIIe siècle tous les ingrédients de la littérature populaire du complot.

Auteur :
Le Fanu, Joseph Sheridan (1814-1873)
Traducteur :
Reumaux, Patrick (1942-....)
Éditeur :
Paris, Phébus,
Collection :
Libretto
Genre :
Roman
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (467 p.) : couv. ill. en coul. ; 19 cm
ISBN :
9782752904836 ; 9782752901484.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • I. A l’enseigne du coq et de l’ancre
  • II. Une chambre à l’« auberge du coq »
  • III. le petit homme en habit bleu doublé d’argent
  • IV. un capuchon rouge au milieu des vieux arbres
  • V. Retour au clair de lune à l’« auberge du coq »
  • VI. Le soldat
  • VII. Trois figures sinistres dans une ruelle solitaire
  • VIII. L’avertissement
  • IX. Le « cheval-qui-saigne »
  • X. Le maître de Morley Court et le petit gentilhomme à l’habit vert bouteille
  • XI. La vieille allée de hêtres et la grille couverte de lierre
  • XII. A l’heure dite
  • XIII. L’entretien
  • XIV. A propos d’un certain jardin et d’une demoiselle
  • XV. Le traître
  • XVI. Où le Signor Parucci est seul avec les têtes à perruque
  • XVII. Le château de Dublin, la nuit
  • XVIII. Les deux cousines
  • XIX. Le théâtre
  • XX. Le garni
  • XXI. Qui apparut à Mary Ashwoode assise sous les arbres ?
  • XXII. L’épinette
  • XXIII. La chambre sombre pleine de cicatrices, de bleus et de plans de vengeance
  • XXIV. Un critique
  • XXV. Le combat et son issue
  • XXVI. L’enfer
  • XXVII. Le départ du pair
  • XXVIII. L’orage
  • XXIX. Les vieilles
  • XXX. La cour des miracles
  • XXXI. L’usurier et le coffret de chêne
  • XXXII. Le murmure diabolique
  • XXXIII. Où sir Henry Ashwoode joue son va-tout
  • XXXIV. Le « vieux Daint-Columbkil »
  • XXXV. La cousine et le cabinet noir
  • XXXVI. A propos de bijoux, de vaisselle, de chevaux, de chiens et de tableaux de famille
  • XXXVII. Le règlement de comptes
  • XXXVIII. D’étranges invités au manoir
  • XXXIX. Le marché et les nouveaux complices
  • XL. Rêves
  • XLI. Où il est question d’O’Connor et d’un certain ecclésiastique en voyage
  • XLII. Les écuyers
  • XLIII. Le bois impénétrable
  • XLIV. La sentence
  • XLV. L’homme au manteau et sa chambre à coucher
  • XLVI. Deux entretiens
  • XLVII. Les « joyeux boulistes »
  • XLVIII. Les manchettes tachées
  • XLIX. Chansons d’autrefois
  • L. Le placard dans le mur
  • LI. Flora Guy
  • LII. Où Mary Ashwoode se promène jusqu’au puits solitaire
  • LIII. Le double adieu
  • LIV. Les deux chances
  • LV. L’effrayant visiteur
  • LVI. Ebenezer Shycock
  • LVII. L’arrivée du chapelain à Morley Court
  • LVIII. Le signal
  • LIX. Halte et péril
  • LX. La chambre vidée de son trésor
  • LXI. La charrette et la paille
  • LXII. On tient conseil
  • LXIII. Le départ
  • LXIV. Mme Martha et M’Guinness le noir
  • LXV. La conférence
  • LXVI. La chambre à coucher
  • LXVII. L’expulsion
  • LXVIII. La rixe
  • LXIX. La fenêtre cadenassée
  • LXX. La chambre du baronnet
  • LXXI. L’adieu
  • LXXII. La corde et l’émeute dans le pré des potences
  • LXXIII. Le dernier regard
  • Conclusion

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