L'abominable Dan Simmons Cécile Arnaud (trad.)

Résumé

En 1924, la course pour parvenir au plus haut sommet du monde s'interrompt brutalement suite à la terrible disparition des célèbres alpinistes George Mallory et Sandy Irvine. L'année suivante, trois hommes - un poète britannique vétéran de la Grande Guerre, un guide de montagne français et un jeune idéaliste américain - tentent à leur tour leur chance. Mais quelqu'un, ou quelque chose, les poursuit, et, à 8500 mètres d'altitude, alors que l'oxygène vient à manquer, l'expédition vire bientôt au cauchemar. Qui est à leurs trousses ? Et quelle vérité se cache derrière les disparitions de 1924 ? Tandis qu'ils poursuivent leur ascension jusqu'au sommet du monde, les trois aventuriers vont découvrir un secret plus abominable encore que toutes les créatures mythiques jamais imaginées.

Auteur :
Simmons, Dan
Traducteur :
Arnaud, Cécile
Éditeur :
Paris, Robert Laffont,
Genre :
Fantastique
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (658 p.)
ISBN :
9782221218686.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • Introduction
  • Première partie. LES ALPINISTES
    • Au sommet du Cervin le choix est clair : un faux pas à gauche et on meurt en Italie ; un écart à droite et on meurt en Suisse.
      • Notes
    • Ici, au milieu des trois mille huit cents hectares les plus magnifiques du monde, vit un cœur brisé pour toujours et un esprit à jamais tourmenté.
    • Si nous pouvons retrouver la dépouille de lord Percival, pourquoi pas celle de Mallory ou d'Irvine... ou des deux ?
    • Les poneys avaient été tués d'une balle dans la tête.
    • Quelle connerie, de laisser une pipe dans un endroit pareil
    • Der Mann, den wir nicht antasten lassen
    • La vire faisait la largeur de ce plateau à pain...
    • Rendez-vous chez MM. Burberry, Haymarket (« demandez M. Pink »)
    • Si seulement ce lord Bromley-je-ne-sais-quoi, cette foutue altesse sérénissime, avait bougé son cul pour nous rejoindre à Calcutta un jour plus tôt, et nous avait aidés à graisser des pattes pour expédier ces foutues caisses à ce foutu dépôt de fret !
    • L'outremer est une couleur étrange et rare, plus profonde que le bleu océan ou même que le bleu marine. Lorsque ma mère l'utilisait dans ses tableaux, ce qui n'arrivait pas souvent, elle écrasait de petits morceaux de lapis-lazuli avec son pouce, ajoutait à cette poudre quelques gouttes d'eau ou de salive puis, d'un mouvement ferme et sûr de son couteau à palette, appliquait de petites touches de la puissante teinte dans le paysage marin ou le ciel auquel elle travaillait. Le moindre excès rompt l'équilibre. À la juste quantité, l'outremer est la plus belle des couleurs.
    • Les moines sont devenus de vraies bêtes de scène ; certains dansaient pendant que les autres jouaient du tambour ou soufflaient dans des trompettes en os de fémur. Le public anglais a adoré.
    • Mais comment ferez-vous, monsieur Deacon, pour conserver un poulet pendant des semaines si vous êtes bloqués par la neige au camp III, sous le col nord ? Vous comptez emporter de la glace ? Un appareil électrique de réfrigération ?
  • Deuxième partie. LA MONTAGNE
    • Samedi 25 avril 1925
    • Samedi 2 mai 1925
    • Mardi 5 mai 1925
    • Jeudi 7 mai 1925
    • Samedi 9 mai 1925
    • Lundi 11 mai 1925
    • Mardi 12 mai 1925
    • Jeudi 14 mai 1925
    • Vendredi 15 mai 1925
    • Vendredi 15 mai 1925
    • Samedi 16 mai 1925
    • Dimanche 17 mai 1925
    • Lundi 18 mai 1925
    • Lundi 18 mai 1925
    • Lundi 18 mai 1925
    • Mardi 19 mai 1925
  • Troisième partie. L'ABOMINABLE
    • 1.
    • 2.
    • 3.
    • 4.
    • 5.
    • 6.
    • 7.
    • 8.
    • 9.
    • 10.
    • 11.
    • 12.
    • 13.
    • 14.
    • 15.
    • 16.
    • 17.
    • 18.
    • 19.
    • 20.
    • 21.
    • 22.
    • 23.
    • 24.
    • 25.
    • 26.
    • 27.
    • 28.
    • 29.
    • 30.
  • Épilogue
  • Postface

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