hydre fumée : poèmes [L'] François Xavier
Résumé
Recueil de poésies. "Du Liban meurtri à la Palestine en mutation, l'ombre de la paix plane néanmoins sur les contrées du Proche Orient. Un jour peut-être, un jour sûrement, les discours d'amour l'emporteront sur les fusils. Par la révolte des mots face à l'inacceptable, ces textes portent en eux l'élan premier qui devra, une fois les armes tues, porter le message de réconciliation aux générations futures."
- Auteur :
- Xavier, François
- Éditeur :
- iDlivre
- Langue :
- français.
- Domaine public :
- Non
Table des matières
- Dédicace
- 1 - Liminaires
- De cet Orient naguère fleurissant ne restera que le vent
- Orient
- J'ai vu renaître l'anémone des forges d'Achrafieh
- Quand viendra le vent d'automne dans nos cOEurs
- Je hurle ma colère des hommes.
- L'enfant des pierres a peur
- Orient d'amour
- Phénicie de feu et de plomb et d'orages
- L'eau azur gardée des hommes froids
- Mille fois terrassée, mille fois souillée
- 2 - Inventaire
- A pied je perds mon chemin pour mieux me retrouver.
- La rotation de l'oiseau de fer ouvrit la lumière
- LE CAFÉ
- Une vie de femme dans un monde d'hommes
- J'ai vu à Kuneitra
- D'un souffle de voix
- Sur ma couche sans sommeil la fièvre
- LE VIEIL HOMME ET SES REVES
- LA BELLE DE CADIX
- Dans ce profond minuit de la pensée
- 3 - Corollaires
- La main de l'homme est une caresse
- Perle d'Orient, princesse des océans de mon cOEur
- Au dernier soir de la vie
- Le vent brûlant recouvrait alors sa voix
- Princesse de mes nuits sèches
- Quoi ?
- Debout,
- Est-ce pécher de ressentir la satisfaction du travail accompli ?
- Orient de feu
- Amour et non politique
- Vogue le navire sur les mers purpurines
- Tout le monde est devant moi
- Je ne juge ce temps, je ne porte qu'un OEil
- Là, les pays d'Orient créent un trésor aveugle
- J'eus un rêve ; il ne fut pas parfaitement rêvé
- Orient, mon cOEur mon âme ma joie, demain
- Tes lèvres sont closes tes yeux desséchés
- Dans ce grand lac épure
- Salut à toi ! qu'à mon aube offrit
- L'ombre de l'ombre de l'état élu
- Qu'est la mort ? - une quiétude du cOEur ?
- Une poussière dans mon verre image du vent
- Déborde l'Oronte en flots d'humeurs et d'amertume
- Qu'arbre toujours vert, qu'if fleuri
- Nous terrasserons le félon par cette vague d'eau pâle
- Légère cette herbe à ma tombe profanée
- Bannis les étendards confisqués les drapeaux
- Fille perdue fière putain tu arpentes
- Et le feu plia sous le ciel noir
- L'espoir la peur les soins jaloux
- Cette terre de fécondité devenue à la verticale
- Naîtront alors les saisons en ordre inversé
- Si tel n'a pas de liberté chez lui
- Le berceau d'avant la tombe en un pays
- Passé un ange sous le vent un soir sans lune
- Pour toi douce sOEur mienne
- Devoir de mémoire -
- BIBLIOGRAPHIE
- 1.OEuvres
-
-
- De l'Orient à l'amour, poésie, éd. Editinter, Soisy-sur-Seine, 1998, (prix Théophile Gautier de l'Académie française 1999)
-
-
- 2. Préface
- 3. Ouvrage collectif
- 1.OEuvres
Commentaires
Laisser un commentaire sur ce livre