La pluie, avant qu'elle tombe : roman Jonathan Coe traduit de l'anglais par Jamila et Serge Chauvin

Résumé

Rosamond vient de mourir, mais sa voix résonne encore, dans une confession enregistrée, adressée à la mystérieuse Imogen. S'appuyant sur vingt photos soigneusement choisies, elle laisse libre cours à ses souvenirs et raconte, des années quarante à aujourd'hui, l'histoire de trois générations de femmes, liées par le désir, l'enfance perdue et quelques lieux magiques. Et de son récit douloureux et intense naît une question, lancinante : y a-t-il une logique qui préside à ces existences ? Tout Jonathan Coe est là : la virtuosité de la construction, le don d'inscrire l'intime dans l'Histoire, l'obsession des coïncidences et des échos qui font osciller nos vies entre hasard et destin. Et s'il délaisse cette fois le masque de la comédie, il nous offre du même coup son roman le plus grave, le plus poignant, le plus abouti.

Auteur :
Coe, Jonathan (1961-....)
Traducteur :
Chauvin, Serge (1966-....) ; Ouahmane Chauvin, Jamila
Éditeur :
[Paris], Gallimard,
Collection :
Du monde entier
Genre :
Roman
Langue :
français ; d'ouvrage original, anglais.
Pays :
France.
Traduction de l'ouvrage :
The rain before it falls
Description du livre original :
1 vol. (248 p.) : jaquette ill. ; 21 cm
ISBN :
9782070785049.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • NOTE
  • Quatrième de couverture
  • Gill était dans le jardin quand le téléphone sonna.
  • L'enterrement eut lieu le vendredi matin.
  • Il fallut plus de deux heures de route pour rentrer dans l'Oxfordshire.
  • Ce jour-là, tout le monde était tombé amoureux d'Imogen.
  • Le lendemain matin, comme d'habitude, Thomas était le premier levé.
  • Dans l'intervalle, elle décréta qu'il ne servirait à rien de retarder davantage sa visite chez Rosamond :
  • La maison de sa défunte tante
  • À trois heures de l'après-midi, Gill téléphona à son frère.
  • La maison de David se trouvait à Stafford, à un peu plus d'une heure de route.
  • Un mercredi matin de février, quatre mois après ce voyage, Gill prit le train pour Londres.
  • Photo numéro un : un pavillon de banlieue à Hall Green, à quelques kilomètres du centre de Birmingham.
  • Numéro deux : un pique-nique.
  • Numéro trois : la caravane.
  • Photo numéro quatre : la ferme proprement dite. Warden Farm.
  • Et voici la cinquième photo pour toi, Imogen.
  • Le mariage de Beatrix
  • Numéro sept. Je ne figure pas sur cette photo.
  • La huitième photo est assez différente de celles que j'ai sélectionnées jusque-là.
  • Et maintenant, une carte postale, pour la photo numéro neuf.
  • En voilà une qui remue des souvenirs, je dois dire. Photo numéro dix :
  • En général, je n'aime pas beaucoup les photos de cérémonie.
  • "Oh merde, fit Gill en regardant sa montre.
  • Onze heures et demie.
  • Numéro douze.
  • C'est le matin, et je me sens beaucoup mieux.
  • C'est juste après la quatorzième photo que mes relations avec Beatrix ont atteint leur point de rupture.
  • Numéro quinze, et nous revoilà à Warden Farm.
  • Celle-ci, je ne suis pas sure de pouvoir la dater précisément.
  • Dix-sept.
  • Nous y voilà, donc. La photo numéro dix-huit.
  • Et le voilà. Image numéro dix-neuf.
  • La dernière image. La vingtième image. Mon cinquantième anniversaire.
  • Je l'imagine à présent, assise à côté de moi sur le siège avant.
  • Ces chemins du Shropshire.
  • En 1972, elle est morte.
  • La lettre de Thea arriva un matin de la fin mars.

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