Fragments de lucidité : Comment supporter les choses comme elles sont Jean-Louis Servan-Schreiber

Résumé

« Être désespéré, c’est la moindre des choses quand on se veut lucide. Le monde est compliqué, plus que je ne peux le comprendre. Les autres sont surtout indifférents, parfois hostiles. Ma vie est insignifiante, et si brève. Je n’y peux rien, c’est le réel. Et pourtant je suis plutôt content de vivre. » Être lucide sur les réalités de l’existence, sur soi-même et continuer à aimer la vie est le défi quotidien de Jean-Louis Servan-Schreiber. Pour lui, la lucidité, notre bouclier contre l’illusion, est indispensable pour ruser avec la déception et l’amertume. En résultent trente petits chapitres ciselés où chacun pourra trouver en écho ses questionnements intimes.

Auteur  :
Servan-Schreiber, Jean-Louis, Auteur du texte
Éditeur :
Paris, Librairie Arthème Fayard,
Collection :
Documents
Genre :
Essai
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (224 p.) ; 14 cm
ISBN :
9782213701042.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • SOMMAIRE
  • Introduction
    OÙ LA SITUATION
    SEMBLE DÉSESPÉRÉE
  • -1- OÙ L’ON SE DEMANDE
    SI LA LUCIDITÉ N’EST PAS
    UN SYNDROME
  • -2- OÙ L’ON A LES MOYENS
    DE VOIR LES CHOSES
    COMME ELLES SONT
  • -3- OÙ L’ON SE REND COMPTE
    QU’ON NE SAIT RIEN
  • -4- OÙ L’ON MESURE LA FUGACITÉ
    DE TOUTE VIE
  • -5- OÙ L’ON NE TROUVE PAS TRACE
    DE TRANSCENDANCE
  • -6- OÙ IL EST RARE
    D’ATTEINDRE L’AUTRE
  • -7- OÙ L’ON M’OUBLIERA VITE
  • -8- OÙ L’ON PRÉFÈRE SE DIVERTIR
    PLUTÔT QUE DE VIVRE
  • -9- OÙ L’ON PEUT RUSER
    AVEC SON DÉCLIN
  • -10- OÙ MON ÉQUILIBRE AFFECTIF
    DÉPEND TROP DES AUTRES
  • -11- OÙ L’ON RENCONTRE
    UNE TENDANCE
    À L’INDIFFÉRENCE
  • -12- OÙ L’ON SE DEMANDE
    À QUOI SERT D’ÉCRIRE
  • -13- OÙ LA CONNAISSANCE
    EST UN TONNEAU SANS FOND
  • -14- OÙ L’ON NE PEUT S’APPUYER
    SUR RIEN DE FERME
  • -15- OÙ TOUT
    EST MIS EN ÉQUIVALENCE
  • -16- OÙ L’ON OUBLIE TROP VITE
    D’OÙ L’ON VIENT
  • -17- OÙ CHACUN
    PEUT SE FAIRE PHILOSOPHE
  • -18- OÙ COHABITENT EN NOUS
    UN PENSEUR ET UN ANIMAL
  • -19- OÙ NOUS AVONS
    TROIS PARCOURS SIMULTANÉS
    DE VIE
  • -20- OÙ L’ON SE POSE
    LA QUESTION À UNE BALLE
  • -21- OÙ L’ON SE MÉFIE
    DU BONHEUR
  • -22- OÙ LA MODERNITÉ FATIGUE
  • -23- OÙ L’ON CONSTATE
    LES DOMMAGES
    DE LA PERFECTION
  • -24- OÙ L’ON NE PEUT VOIR
    LES CHOSES QUE DE SON SEUL
    POINT DE VUE
  • -25- OÙ L’ON APPREND
    À MANIER L’ILLUSION LUCIDE
  • -26- OÙ LA FRAGMENTATION
    DE TOUS LES SYSTÈMES
    ACCROÎT NOS SOLITUDES
  • -27- OÙ L’ON S’ATTACHE
    AUX OBJETS, D’AUTANT
    QU’ILS NOUS PARLENT
  • -28- OÙ L’ON VA DE LA SINGULARITÉ
    À LA BANALITÉ
  • -29- OÙ LA MORALE
    SE CALCULE EN EUROS
  • -30- OÙ SE CROIRE LUCIDE
    MANQUE DE LUCIDITÉ

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