"Un président ne devrait pas dire ça..." Gérard Davet, Fabrice Lhomme

Résumé

Ce livre est une affaire d'Etat. Cinq années passées à traquer la vérité des faits, au coeur du pouvoir suprême. Voici le récit d'une enquête sans concession, d'une confrontation inédite entre deux journalistes d'investigation et un chef d'Etat, François Hollande. Une étrange relation, émaillée d'agacements réciproques et de fortes tensions. A l'arrivée, des révélations incroyables, des secrets éventés, des déclarations stupéfiantes. Jamais un président de la République n'avait été poussé à se livrer à ce point. Langue de bois proscrite, conseillers restés à la porte, relecture refusée. François Hollande n'aurait pas dû "dire ça" ? En tout cas, nous, nous devions l'écrire.

Auteur :
Davet, Gérard
Auteur :
Lhomme, Fabrice
Éditeur :
Paris, Stock,
Genre :
Essai
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (672 p.)
ISBN :
9782234075481.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • TABLE
  • PRÉFACE
  • PROLOGUE
    L’étoile
    • « J’avais choisi Delors, ma vie politique aurait pu s’arrêter là »
    • « J’ai longtemps été un second »
    • « J’ai un sentiment de supériorité très très fort… »
    • « J’aurai vécu cinq ans de pouvoir relativement absolu »
  • I LE POUVOIR
    • 1 L’ascension
      • « Bernard Squarcini doit être la première personne à partir »
      • « On fera des contrôles fiscaux sur tous les ministres »
      • « Je fonctionne par cercles, sans que jamais ils ne se croisent »
      • « J’ai vu de la haine dans ses yeux »
    • 2 Le lauréat
      • « Mitterrand a tué le match ! Après le Panthéon, que voulez-vous faire ? »
      • « 350 000 euros à ne rien faire, c’est fou… »
      • « Je suis simple, oui. C’est mieux que “normal” »
      • « Ceux qui veulent démissionner, c’est encore possible »
      • « On ne va pas la laisser tomber, Ségolène… »
      • « Je ne dirai pas le mot austérité, sûrement pas… »
    • 3 Le tête-à-queue
      • « Le tout, c’est de mieux terminer le mandat qu’il n’est commencé »
      • « Ils n’ont pas fait ce qu’un gouvernement de droite aurait dû faire »
      • « Batho aussi, il fallait la changer… »
      • « Votre degré de liberté est fonction de votre taille politique »
      • « La parole est libre à l’intérieur du gouvernement, et non sur la place publique »
      • « Le premier gouvernement est un gouvernement où l’on tâtonne forcément »
      • « On est victime de sa propre posture »
    • 4 Le sacrifié
      • « Il faut utiliser Ayrault jusqu’au bout, puis après en changer »
      • « Il est tellement loyal qu’il est inaudible »
      • « Ce n’est pas possible que tu puisses rester »
      • « Pour 2017, un plan à la Balladur ? Non, notre sort est scellé »
    • 5 L’allié
      • « On peut aussi rater sa vie en étant président de la République ! »
      • « J’ai dit à Manuel : “Tu vois, il faut réfléchir…” »
      • « C’est ça, l’enfer de Matignon »
    • 6 Le mécanicien
      • « Je dis à Valls : “Il vaut mieux ne pas le mettre à l’Intérieur” »
      • « Il fallait un type différent de Valls »
      • « Travailler avec Taubira, ce n’est pas simple »
      • « Celle qui me connaît le mieux, c’est Ségolène, quand même »
      • « Najat, je pense qu’elle en veut plus que les autres »
      • « Je me moque bien de savoir s’il est vallsiste ou pas »
      • « C’est très difficile, la culture […] C’est un milieu très ingrat »
  • II L’HOMME
    • 1 La première dame
      • « L’obsession de Valérie, c’était Ségolène »
      • « Je ne suis pas mandaté pour contrôler ma femme »
      • « Je pense qu’elle souffrait depuis des mois et des mois »
      • « C’est le pire moment personnel du quinquennat »
      • « Elle m’a dit : “Tu m’as trahie en m’abandonnant, je te trahis en publiant.” »
    • 2 La deuxième dame
      • « Je pense que Sarkozy avait des informations par les policiers qui peuvent, éventuellement, travailler avec lui »
      • « Julie essaye d’avoir sa vie, ce qui n’est pas si facile »
    • 3 L’inaudible
      • « Je pense que ce n’était pas à moi de parler »
      • « Enfin, on est chez les fous, quoi ! »
      • « J’ai tendance, moi, à parler aux journalistes pour les journalistes »
      • « Le pouvoir ne se filme pas »
      • « Le slogan présidentiel n’existe pas »
    • 4 Le journaliste
      • « La presse de droite soutient la droite, mais la presse de gauche ne soutient pas la gauche »
      • « Les médias peuvent tuer… »
      • « Pour eux, c’est une incongruité que je sois là »
    • 5 Le spectre
      • « Ce qui pèse, c’est de ne pas avoir de vie de famille »
      • « Moi, je pense qu’il n’y a pas de mystère Hollande »
      • « Être président, c’est ne pas avoir d’amis »
      • « Elle était heureuse, émue, on a échangé un regard… »
      • « J’aime peut-être les gens jusqu’au point de leur faire confiance »
      • « On sous-estime toujours la haine que l’on peut inspirer »
      • « Il n’y a pas le temps pour être heureux »
  • III LA MÉTHODE
    • 1 Le pari
      • « Pourquoi Sarkozy a-t-il perdu ? Pas simplement parce qu’il est Sarkozy ! »
      • « S’il n’y a pas la reprise de l’économie, on sera mal »
      • « La présidentielle, c’est impossible de la gagner si on n’a pas baissé le chômage »
      • « Pour les Français, dès qu’il y a un plan social, le gouvernement en est responsable »
      • « Je serais déçu si la courbe n’était pas inversée »
      • « Je pense que ça s’inverse »
    • 2 Le choix
      • « La politique économique est désormais l’art d’accommoder les restes »
      • « Nous aurions dû dire la vérité dès juillet 2012 »
      • « On aurait peut-être pu avoir la main moins lourde sur les impôts »
      • « Sarkozy a d’une certaine façon tué la politique de relance »
      • « Être à gauche, c’est aussi permettre que l’économie puisse redistribuer »
      • « J’ai dit à Sapin : “Maintenant, tu fais.” Et il fera »
      • « Le meilleur slogan, c’est celui qu’on trouve tout seul »
      • « Je dois ambiancer »
    • 3 Le symbole
      • « Le piège Florange, c’est le piège de l’émotion, alors que c’est une bonne décision »
      • « Il est allé trop loin, il a eu des paroles malheureuses »
      • « Entre le discours de raison d’Ayrault et la passion prolétarienne du syndicaliste… »
      • « Ayrault avait politiquement raison, économiquement raison… »
      • « Ne parlez pas d’Ayrault, ne parlez pas de Montebourg, c’est moi qui ai pris la décision »
    • 4 Le démineur
      • « Si, pour le moment, rien ne coagule, il faut faire attention »
      • « Soit on recule et on dit : “Vous êtes faible.” Soit on ne recule pas et on dit : “Vous êtes sourd…” »
      • « La GPA, je n’ai jamais été pour, ça renvoie à la crainte d’une marchandisation »
      • « La mère du garçon, j’ai essayé de la joindre, elle ne m’a pas pris au téléphone »
      • « Le plus probable, c’est que ce projet ne sera pas annulé, mais ne verra pas le jour ! »
      • « Notre-Dame-des-Landes ? Je ne suis pas pour le projet en tant que tel »
    • 5 Le masque
      • « Il n’y a à mon sens de réforme possible en France pour la gauche de gouvernement que s’il y a un accompagnement par le patronat »
      • « Gattaz n’est pas un mauvais bougre »
      • « À Matignon, Valls me dit : “Mais non ce n’est pas moi, c’est sans doute dans la réécriture d’un collaborateur…” »
      • « L’un et l’autre voulant montrer qu’ils étaient des réformistes intrépides… »
      • « Si vous avez quelque influence sur la droite – vous pouvez peut-être en avoir –, faudrait pas qu’ils bloquent l’article 2 »
      • « Je n’ai jamais pensé qu’on était en face d’un mouvement puissant »
    • 6 Le procès
      • « Je n’avais pas promis d’éradiquer la finance dans notre pays »
      • « Toute la campagne que je fais est une campagne réaliste »
      • « Le pire qu’on puisse dire, finalement, c’est : “Il a été président pour rien…” »
  • IV LES AUTRES
    • 1 L’obsession
      • « Il commence à me parler de l’argent qu’il gagnait avec ses conférences »
      • « Il a parlé de lui, comme d’habitude »
      • « Sarkozy pense, de toute façon, que les autres sont nuls »
      • « Quel est l’intérêt de nourrir Balkany ? Pourquoi faire de Guéant un homme d’argent ? »
      • « Sarko ? Si les coups ne le tuent pas, il sera candidat »
      • « Il n’a pas travaillé »
      • « Morano, c’est une Le Pen en plus maigre ! »
      • « Ce qui est frappant avec Sarkozy, c’est qu’il est à la tête d’un fan-club »
    • 2 La menace
      • « Elle a une forme de violence bien moindre que son père »
      • « Le sacrifice est la preuve de notre sincérité »
      • « S’il fallait appeler à voter Sarkozy, on le ferait »
      • « La fille Le Pen est beaucoup plus dangereuse que son père »
      • « Les lepénistes sombreront comme tous les lepénistes, par l’argent, les avantages… »
      • « C’est moins la finance qui nous menace, c’est Le Pen »
    • 3 Les emmerdeurs
      • « Les écolos donnent l’impression d’empêcher… »
      • « Je sais qui l’a sortie au Parisien, c’est Duflot… »
      • « Duflot nous a quand même assez plantés… »
      • « Elle tentera cette idée de candidature »
      • « Toute dispersion maintenant est fatale »
    • 4 La fronde
      • « On va dire aux militants : voilà, c’est difficile d’investir ceux qui n’ont pas suivi »
      • « C’était pénible, l’idée qu’il pouvait y avoir deux lignes au sein du même gouvernement »
      • « Non, la France n’a pas été abaissée »
      • « Nuit debout, c’est un symptôme, mais ce n’est pas un mouvement »
      • « Les élections, il n’y a que les cons qui n’y participent pas ! »
    • 5 La créature
      • « Si ce garçon-là avait voulu faire une carrière à droite, c’était tout à fait possible »
      • « Je pense que Macron est authentiquement de gauche »
      • « Ça a coûté cher, de passer aux 35 heures »
      • « Emmanuel Macron est un être qui n’est pas duplice »
      • « Il n’est pas dans une stratégie personnelle sur le plan politique »
      • « Ne te mets pas dans cette position qui donne l’impression que tu es nulle part »
      • « Il a une bonne image, mais d’autres s’y sont essayés »
      • « Je le gère, mais s’il devait y avoir des actes au-delà de ce que, dans un gouvernement, on peut accepter… »
      • « Je pense qu’il ne sera pas candidat »
  • V LES AFFAIRES
    • 1 La cible
      • « Sur la fameuse tirade “Moi président”, je peux en rajouter ! »
      • « Écouter un ancien président, c’est courageux de la part des magistrats »
      • « On ne change rien à nos rendez-vous, évidemment, on n’est coupables de rien ! »
      • « C’est le photographe de Carla et Sarko, il est mandaté par eux »
      • « Je pense qu’il y a des policiers qui parlent à la presse people »
    • 2 Le candide
      • « Je ne vais pas examiner des fadettes pour savoir qui communique avec qui ! »
      • « Les affaires discréditent l’ensemble de la classe politique, et un peu plus, malgré tout, Sarkozy »
      • « Imaginons qu’on ait nommé Anne Lauvergeon ministre de l’Économie… »
      • « On ne va pas reconduire Proglio, c’est une décision que j’ai prise depuis le départ et je n’en changerai pas »
      • « Christine Lagarde, ce n’est pas nous qui la soutenons, c’est le FMI »
    • 3 Le traître
      • « Les yeux dans les yeux, il m’a juré ne pas avoir de compte caché »
      • « Il a ouvert son enquête en nous informant, mais pas en nous demandant l’autorisation, c’est fini ce temps-là »
      • « Je savais où il habitait, dans les beaux quartiers, même si je ne suis jamais allé chez lui »
      • « Heureusement, on a évité tout financement de campagne, de parti, et ça je peux tout à fait garantir que ça ne se produira pas »
      • « Fabius m’a dit, puisque bien sûr je lui ai posé la question : “Je n’ai pas de compte en Suisse” »
    • 4 Les boulets
      • « Je pense que tu ne peux pas rester. Donc il y a deux solutions, soit tu adresses ta démission, soit je le ferai moi-même… »
      • « Ayrault s’était plaint d’Aquilino Morelle, en disant : “Il me débine auprès des journalistes, il met en cause Matignon” »
      • « Quand j’ai dit “République exemplaire”, c’est ça l’exemplarité. Tout est suivi d’effet, personne n’est protégé… »
      • « Moi, je n’ai pas signé les chèques, donc je ne peux pas dire que Sarkozy les a signés, mais à un moment, on sait »
      • « Je fais attention, mais on n’est pas à l’abri de quelqu’un qui se réclame de vous »
    • 5 Les tartuffes
      • « Fillon a dit à Jouyet : “Mais comment ça se fait que vous ne poussiez pas la justice à en faire davantage ?” »
      • « Ce qui lui importait, c’était de dire qu’il avait été victime d’un complot de ma part »
      • « Jean-Pierre n’avait aucune raison de ne pas dire la vérité, il a dit exactement ce qui s’était produit »
  • VI LE MONDE
    • 1 Le général
      • « Ça a été dur avec Poutine sur la Syrie »
      • « Obama, il est lent à prendre ses décisions »
      • « Les États-Unis ne veulent plus être les gendarmes du monde »
      • « Je reste convaincu qu’il aurait fallu frapper »
      • « Je ne voulais pas qu’on m’accuse d’instrumentaliser les réfugiés pour faire monter l’extrême droite »
      • « On ne peut pas continuer à avoir des migrants qui arrivent sans contrôle, dans le contexte en plus des attentats »
    • 2 La mort
      • « J’ai été réveillé dans la nuit, on m’a dit : “L’opération n’a pas marché, le type est mort…” »
      • « Quand je vois des hommes amputés, brûlés, je me dis : quand même, ils pourraient m’en vouloir »
      • « Moi, je voulais aller plus vite, tout de suite foncer sur Tombouctou et Gao, envoyer des parachutistes, qui pouvaient se faire tuer… »
      • « Il est possible qu’on retrouve tous les otages tués, je m’y suis préparé depuis le premier jour de l’intervention »
      • « Depuis que je suis arrivé, on n’a pas versé un seul centime »
      • « On a une liste de noms de tous les gens qu’on a éliminés »
    • 3 Le pacificateur
      • « Giscard était comme ces gens très vieux, qui sont émus d’eux-mêmes »
      • « Oui, c’est un beau coup. En plus, on l’a fait sans l’assentiment réel des Américains »
      • « Merkel, elle est sérieuse, intelligente, soucieuse de trouver l’équilibre, en faisant en sorte que cet équilibre soit le plus près de ses positions »
    • 4 Le facilitateur
      • « Si vous mourez, nous serons blessés, on ne sera pas mieux portants »
      • « On voit bien le piège que le FMI, avec le concours des Allemands, peut nous tendre »
      • « J’ai dit à Tsipras : “On met tous nos services à ta disposition, au moins on t’aidera techniquement.” On a mis dix fonctionnaires au service de la Grèce… »
    • 5 Le diplomate
      • « Maintenant, je connais tout, si je fais des erreurs, elles ne doivent être dues qu’à moi »
      • « Ils nous ont dit : “Nous ce qu’on vous demande, c’est d’afficher 3 %. Et ce qu’on vous accordera, c’est une certaine bienveillance sur le rythme qui sera celui de votre trajectoire…” »
      • « Il y a un prix, qui doit être acquitté, à la puissance politique, diplomatique, militaire »
      • « Si en tant que chef de l’État je ne dois entretenir des relations qu’avec d’irréprochables démocrates, je ne parlerai pas à grand monde… »
      • « Les Américains, quoi qu’ils fassent, ils sont arrogants. Toujours. Même dans leurs erreurs, finalement… »
      • « Il y a une demande de France, et une demande de leadership »
      • « On est toujours à la pointe, toujours les premiers, salués partout […]. On n’est pas crédités… »
  • VII LA FRANCE
    • 1 L’effroi
      • « Je me demande alors qui sont ces morts »
      • « Je voulais qu’il n’y ait pas de récupération par le pouvoir »
      • « Même Charlie, c’est un attentat antisémite quand on y pense, c’est l’idée du complot juif »
      • « On peut se demander pourquoi les États-Unis n’ont pas envoyé une personnalité de plus grande envergure »
      • « Et il y avait le cas Sarkozy… »
      • « J’ai eu les larmes aux yeux, en appelant les familles »
      • « Quand ça va mal, on cherche le chef, on attend le chef »
    • 2 La réplique
      • « On voit un type après l’explosion, son corps est déchiqueté »
      • « On découvre alors qu’on a des proches… »
      • « Je n’ai même pas eu le temps de pleurer. […] Les victimes, ce sont mes enfants, au sens large du terme… »
      • « C’est le lendemain que les choses dérapent… »
      • « Je me suis dit : je vais contenir mon émotion »
    • 3 L’urgentiste
      • « Je sens assez vite que Nicolas Sarkozy reprend en main ses troupes »
      • « Le meilleur service de renseignement, c’est comme dans les pays totalitaires, quand vous avez une personne derrière une autre personne… »
      • « C’est vrai, l’état d’urgence a servi à sécuriser la COP 21 »
      • « Il y a des choses qu’on peut dire en privé aux Belges »
    • 4 L’emportement
      • « Je pense que le pays pouvait basculer »
      • « La droite fera tout pour qu’il n’y ait pas de Congrès en 2016 »
      • « Je ne comprends pas pourquoi elle s’est exprimée… »
      • « J’aurais fait un référendum au lendemain des attentats, je l’aurais gagné »
      • « Une agrégation de gens intelligents peut faire une foule idiote »
    • 5 Les déchirures
      • « La femme voilée d’aujourd’hui sera la Marianne de demain »
      • « Je pense qu’il y a trop d’arrivées, d’immigration qui ne devrait pas être là »
      • « Qu’il y ait un problème avec l’islam, c’est vrai. Nul n’en doute »
      • « Pourquoi interdire à une femme d’être voilée ? »
      • « Le déclinisme fait le lit de l’extrémisme »
      • « Il faut peut-être prendre davantage l’électeur aux tripes »
      • « Zemmour n’a rien inventé, c’est le café du commerce du déclin français »
    • 6 La comparaison
      • « Le Maire, c’est Montebourg, il se vendra le moment venu »
    • 7 Le liquidateur
      • « Le propre d’un militant socialiste, c’est de vouloir gagner »
      • « J’ai fait ce que j’avais à faire, enduré autant qu’il était possible… »
      • « Au moins, on ne nous fera pas le procès du laxisme »
      • « La seule promesse qu’on n’ait pas tenue, c’est la promesse qui n’était pas écrite, c’est la 61e… »
      • « Avoir une fusion président-Premier ministre »
      • « Je ne veux pas donner l’impression, si j’étais candidat, d’un bidouillage »
      • « Mélenchon, je l’ai vu ramper pour entrer au gouvernement Jospin »
  • ÉPILOGUE
    • « On déconsidère, on discrédite, il faut que le pouvoir soit faible »
    • « On aura sauvé Peugeot, comme on a sauvé Florange aussi d’une certaine façon, en tout cas la sidérurgie »
    • « Je m’en veux, parce que je ne peux quand même pas me défausser… »
    • « Le vrai charisme, il est dans le courage, l’obstination »
    • « J’aimerais que l’on dise de moi, puisque c’est la vérité, que j’ai été courageux »
    • « Cela ne me pose pas de problème, de redevenir un citoyen… »
    • « Je ne dis pas que je ne ferai jamais de conférence, mais je ne courrai pas le cacheton ! Non ! »
    • « C’est vrai qu’on peut instrumentaliser un journaliste politique. C’est assez facile… »
    • « Le coiffeur devrait en témoigner, je ne me suis jamais fait teindre les cheveux. Jamais ! Jamais ! »
  • REMERCIEMENTS

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