Paul McCartney Philip Norman Pierre Reignier (trad.)

Résumé

Qu'aurait été Lennon sans McCartney ? On ne sépare pas comme ça le duo de compositeurs le plus prolifique du XXe siècle – la vie s'en est assez chargée. Et sous ses apparences de gentil garçon, compositeur de mélodies sucrées, éternel numéro deux dans l'ombre du flamboyant John, Paul n'aurait-il pas été, finalement, le véritable capitaine du Yellow Submarine ? Le découvreur hors pair de nouveaux horizons musicaux, à la force créatrice débridée, plus détonante encore que celle de son acolyte ? Superbe évocation d'un demi-siècle de musique et de culture populaires, cette biographie fait aussi la part belle aux à-côtés de la légende, aux détails de la vie privée dans les époques pré- et post-Beatles qui ont compté dans le destin hors normes de ce petit gars de Liverpool : les méandres de l'enfance avec la mort prématurée de sa mère, Mary – qui lui inspirera plus tard Let It Be –, l'âge d'or des sixties, les années 1970 et la séparation du groupe, les abîmes dépressifs, ponctués de sursauts de génie avec Wings et sa muse, Linda Eastman, l'amour, la mort, une nouvelle muse, Heather Mills... Sexe, drogue, rock'n'roll, et l'un des divorces les plus coûteux et acrimonieux de l'histoire de la justice britannique. Chroniqueur éprouvé de l'histoire du rock, Philip Norman ajoute à son oeuvre une nouvelle pièce qui trouvera naturellement sa place dans la bibliothèque de tout beatlemaniaque qui se respecte.

Auteur :
Norman, Philip
Traducteur :
Reignier, Pierre
Éditeur :
Paris, Robert Laffont,
Genre :
Biographie
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (878 p.)
ISBN :
9782221141540.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • PROLOGUE
    C’est comme si c’était Yesterday
  • Première partie UN ESCALIER POUR LE PARADIS
    • 1 « Hé, m’sieur ! Donnez-moi la pièce
      et je vous montre la maison de Paul McCartney. »
    • 2 Des sandwichs à la pomme saupoudrée de sucre
    • 3 « J’ai appris à m’entourer d’une carapace. »
    • 4 Se donner du style
    • 5 « L’eau et l’feu ! L’eau et l’feu ! »
    • 6 « Quand ils étaient ensemble,
      Paul semblait donner vie à John. »
    • 7 « Mais qui voulez-vous devenir, au juste, Paul ?
      Un raté comme Tommy Steele ? »
    • 8 « C’est complètement dingue, ici !
      Les gens ne dorment jamais. »
    • 9 « Chante “Searchin’”, Paul ! »
    • 10 « Hé, Vi, vous me passez le peigne
      sur les jambes ? »
    • 11 « Imaginez : Little Richard qui porte ma chemise !
      Je ne peux pas y croire ! »
  • Deuxième partie LE BEATLE TOUS AZIMUTS
    • 12 « Saviez-vous qu’il dort les yeux ouverts ? »
    • 13 « D’un geste elle transforme ma vie. »
    • 14 « Longue vie, bonheur
      et plein de sandwichs au massepain. »
    • 15 « Voici comment un Beatle s’occupe le soir. »
    • 16 « Le truc, voyez,
      c’est que j’aime les grandes maisons. »
    • 17 « C’était presque comme si un extraterrestre
      s’était posé sur le Mull. »
    • 18 Le retour du Jim Mac Jazz Band
    • 19 « Un imbécile et un irresponsable. »
    • 20 « Paul pataugeait.
      C’était le grand n’importe quoi. »
    • 21 « Un bel endroit où des gens beaux
      peuvent acheter de belles choses. »
    • 22 « Un vrai coup de foudre,
      comme disent les Français. »
    • 23 « Tu l’as trouvée, maintenant va la chercher. »
  • Troisième partie UN FOYER, UNE FAMILLE, L’AMOUR
    • 24 « T’as encore joué sur le toit
      et ta maman n’est pas contente. »
    • 25 « Merde au fric ! »
    • 26 « Pleurez donc ! Vous serez dans le journal ! »
    • 27 « Paul est encore des nôtres. »
    • 28 « Un sentiment irrépressible,
      un grand vide qui m’emplissait l’esprit. »
    • 29 « C’était comme si je commettais un sacrilège. »
    • 30 « Putain, là on a vraiment raté notre coup. »
    • 31 « Allez vous faire foutre, je vais faire un album
      sur lequel vous regretterez de ne pas être. »
    • 32 « Un vieux fiancé à moi,
      Paul, avec qui je suis brouillé. »
    • 33 « Si j’étais Paul McCartney, mec,
      la route je l’achèterais. »
    • 34 « Elles se réservaient pour lui. »
    • 35 « Oï, Paul ! ’Sais quoi ? Ton “Mull of Kintyre”,
      putain, il est génial ! »
    • 36 « Une fantaisie McCartney sous stéroïdes punks. »
    • 37 Récidiviste au Japon
    • 38 « Ça a sidéré tout le monde. Définitivement. »
  • Quatrième partie PORTER CE POIDS
    • 39 « Rendez-moi mes bébés, Lew. »
    • 40 « À peu près l’idée
      qu’on peut se faire d’un non-film. »
    • 41 « J’ai acheté tes chansons, Paul. »
    • 42 « Vous êtes un public tellement charmant. »
    • 43 « Vous savez, je bosse comme un dingue.
      Ah oui, putain. Je bosse comme un dingue. »
    • 44 « Tout le monde voulait être la cerise sur le gâteau. Personne ne voulait être le gâteau. »
    • 45 « Cette lettre est pour toi,
      avec toute l’affection de ton ami Paul. »
    • 46 « Elle était rayonnante d’espoir. »
    • 47 « Laisse-moi t’aimer toujours. »
  • Cinquième partie LE RETOUR AU MONDE
    • 48 Ville désolée
    • 49 « Il ne me manque qu’une jambe.
      J’ai toujours un cœur. »
    • 50 « Hé, c’est plutôt sympa.
      C’est une des tiennes ? »
    • 51 « Dites donc, Paul,
      on ne vous entend pas beaucoup. »
    • 52 « Elle ne peut pas se permettre
      d’attaquer tous les journaux qu’elle souhaiterait. »
    • 53 « Même selon leurs critères habituels,
      les tabloïds britanniques font preuve
      d’une extraordinaire méchanceté. »
    • 54 « Sa femme, mère, amante, confidente,
      partenaire en affaires et psychologue. »
    • 55 « Il y a toujours ce moment où je me demande : “Vais-je y arriver ?” »
  • ÉPILOGUE
    « À plus, Phil ! »
  • REMERCIEMENTS
  • Index
    • 1
    • 2
    • <
    • A
    • B
    • C
    • D
    • E
    • F
    • G
    • H
    • I
    • J
    • K
    • L
    • M
    • N
    • O
    • P
    • Q
    • R
    • S
    • T
    • U
    • V
    • W
    • Y
    • Z
    • a
    • b
    • c
    • d
    • f
    • g
    • h
    • i
    • j
    • l
    • m
    • n
    • o
    • p
    • r
    • s
    • t
    • u
    • v
    • «
    • É
    • é

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