Un bûcher sous la neige Susan Fletcher Suzanne Mayoux (trad.)

Résumé

Au coeur de l'Ecosse du XVe siècle, Corrag, jeune fille accusée de sorcellerie, attend le bûcher. Dans le clair-obscur d'une prison putride, le révérend Charles Leslie, venu d'Irlande, l'interroge sur les massacres dont elle a été témoin. Mais, depuis sa geôle, la voix de Corrag s'élève au-dessus des légendes de sorcières et raconte les Highlands enneigés, les cascades où elle lave sa peau poussiéreuse. Jour après jour, la créature maudite s'efface. Et du coin de sa cellule émane une lumière, une grâce, qui vient semer le trouble dans l'esprit de Charles.

Auteur :
Fletcher, Susan
Traducteur :
Mayoux, Suzanne
Éditeur :
Paris, J'ai lu,
Genre :
Roman
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (475 p.)
ISBN :
9782290025253.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • Édimbourg
    18 février 1692
  • UN
    • I « La lune en est la souveraine. »
      du Troène
      Herbier complet
      Culpeper
      1653
    • Auberge de l’Aigle
      Stirling
    • II « La graine noire [soigne] aussi
      ceux qui ont le sommeil
      perturbé par la maladie
      nommée Ephilates ou Incubus,
      mais que nous appelons communément
      cauchemar. »

      de la Pivoine
    • Auberge de l’Argyll
      Inverary
      26 février
    • III « Voici une plante très commune
      mais négligée.
      Elle détient de très grandes vertus. »

      de la Consoude
  • DEUX
    • I « Aussi nommée Fleur du vent parce que,
      dit-on, ses fleurs ne s’ouvrent
      que lorsqu’il souffle. »

      de l’Anémone
    • II « On le trouve communément
      sous les haies et au bord des fossés
      près d’une maison,
      ou sur les chemins ombreux
      et autres terrains en friche,
      presque partout dans ce pays. »

      du Lierre rampant
    • III « Ses feuilles appliquées
      sous les pieds nus écorchés
      par une longue marche procurent
      un grand soulagement. »

      de l’Aulne
    • IV « Le botryche est (dit-on) une plante
      qui ouvrira les serrures
      et ôtera leurs fers aux chevaux
      qui la foulent… Des paysans
      que je connais la nomment Ôte-fer. »

      du Botryche lunaire
  • TROIS
    • I « Considérez-le comme un trésor. »

      du Sureau
    • II « … et de plus, si vous attachez
      un taureau, aussi furieux qu’il soit,
      à un figuier,
      il deviendra vite docile et doux. »

      de la Figue
    • III « [Ses feuilles sont] plus larges en bas
      qu’à l’extrémité,
      un peu dentelées sur les bords,
      d’un vert triste, et emplies de veines. »

      de l’Hysope
    • IV « La confiture mélangée
      à de l’Aromaticum Rosarum
      est un très bon cordial
      contre les évanouissements, pâmoisons,
      faiblesse et palpitations du cœur. »

      de la Rose
    • V « Les fleurs sont blanches et très menues ;
      plus tard viennent
      les petites gousses contenant la graine,
      qui sont plates
      et presque en forme de cœur. »

      de la Bourse-à-pasteur
    • VI « Un homme qui mange de la menthe,
      on dit que sa plaie
      ne guérira jamais, et cela fait long. »

      de la Menthe
    • VII « Elle est aussi douce
      que Vénus elle-même. »

      de la Pêche
    • VIII « Si ses vertus vous font vous en éprendre
      (comme elles n’y manqueront point
      si vous êtes avisé),
      ayez toujours à portée de main un sirop
      à boire, ainsi qu’un onguent
      et une pâte à appliquer sur la peau. »

      du Lycope
    • IX « … le sirop est d’un grand secours
      pour procurer le repos,
      et calmer la cervelle
      des personnes frénétiques, en abaissant
      la température brûlante de la tête. »

      du Nénuphar
    • X « Prenez garde à ne point prendre
      pour celle-ci la dangereuse Belladone ;
      si vous ne la connaissez pas,
      ne touchez à aucune des deux,
      ainsi vous éviterez le mal. »

      de la Belladone
  • QUATRE
    • I « Vénus détient cette plante, et dit :
      Que les feuilles mangées par l’homme
      et la femme ensemble amènent
      l’amour entre eux. »

      de la Pervenche
    • II « Il peut à juste titre être comparé
      au cœur, non seulement
      parce que la feuille est triangulaire,
      comme le cœur humain,
      mais aussi parce que chaque feuille
      possède la perfection d’un cœur,
      jusque dans sa couleur,
      à savoir une couleur de chair. »

      du Trèfle cordé
  • CINQ
    • I « … que nul ne la dédaigne
      parce qu’elle est évidente
      – toutes les voies de Dieu
      ont cette apparence. »

      de la Potentille rampante,
      ou Quintefeuille
  • Postface
  • Bref rappel
    du contexte historique
    • L’Homme-poisson de Sye
    • Un

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