Table des matières

• Note de l’auteur
• Clichy, 2 juillet 1943
• 1. Au commencement de la lutte armée : l’Organisation spéciale (OS), été 1941-mars 1942
  • Le lancement de la lutte armée à l’été 1941
  • Le berceau de la lutte armée
  • « Les régions attendent Paris pour travailler »
  • La double ligne en question
  • Le vivier communiste
• « F’nain », Sallaumines, Nantes
  • Illégaux, brigadistes et jeunes communistes
  • Entraînés vers la lutte armée
• 2. A l’OS « on ne se bousculait pas au portillon »
  • Combien sont-ils ?
  • « Un manque de résultats » en province
  • Les militants « se sont presque tous récusés »
  • « Nous ne sommes pas des tueurs »
  • Un prix trop lourd à payer
  • « Toute cette histoire abracadabrante sent la provocation à plein nez »
• 3. Inciter
  • Qui recruter ?
  • « C’est à nous d’aller les chercher »
  • Des arguments pour la lutte armée
  • « Il n’est pas vrai que les militants audacieux [membres des FTP] sont des sacrifiés »
  • Combien de FTP à l’été 1942 ?
  • La situation en province
• 4. Obliger
  • La campagne des 10 %
  • Les responsables régionaux sur la sellette
  • « Je n’ai pas besoin d’une machine à calculer pour dénombrer les gars »
  • Combien sont-ils en province ?
  • L’effet STO
  • Les effectifs au second semestre 1943
  • Les FTP en milieu urbain à l’approche de la Libération. « La marche arrière à plein gaz » en région parisienne
  • La police sonne l’hallali en province
• 5. Une organisation clandestine
  • « Comment se défendre ? » « Le compartimentage doit être appliqué […] dans tous les cas »
  • « Des histoires avec la police ? »
  • « Absence tragique de vigilance »
  • « Pour un œil, les deux yeux, pour une dent, toute la gueule » : des menaces aux exécutions de policiers
  • « Notre réponse, la seule qu’il convienne de donner aux flics, c’est d’en exécuter q.q. uns [quelques-uns] »
• 6. Les motivations des combattants
  • Les ressorts idéologiques en question
  • « Pour moi, la patrie c’est le pognon »
  • « Nous avions reçu de nos organes directeurs des instructions formelles pour ne rien faire contre les Allemands »
  • « Nous étions conditionnés par l’éducation politique que nous avions reçue, par l’exemple de rigueur implacable des Bolcheviks »
  • Des motivations plus prosaïques L’élan de la jeunesse
  • Des FTP sous influence
  • Donnant-donnant
• 7. Gérer le personnel
  • « Un mouvement de masse guidé et entraîné par les communistes »
  • « Aucun patriote ne doit avoir de liaison plus haute qu’un chef d’équipe »
  • « Fini le bon garçonnisme »
  • Des « homme[s] de poids connaissant bien […] [les] prolos »
  • « Nous sommes décidés à encourager ceux qui travaillent et non pas ceux qui font les maquereaux sur le dos du P. »
  • « Ce n’était pas le Pérou »
  • « Je ne veux plus que Simone travaille au SR »
  • « Nous avons donc pris contact avec l’AS »
  • « Pilleurs en temps de guerre »
• 8. En guerre contre les Allemands
  • Les pertes allemandes. Les polices françaises tiennent les comptes à jour
  • « Il n’est que de relire les communiqués de l’époque pour constater notre tendance à prendre nos désirs pour des réalités »
  • « Il faut s’instruire en agissant «
  • S’armer
  • « Faut[-il] tout se procurer soi-même »
  • Combien d’armes pour les FTP ?
  • Des armes et des explosifs français « récupérés » en quelle quantité ?
  • Un armement de mauvaise qualité
  • 77 % des attentats à la bombe se soldent par des dégâts légers en région parisienne
  • La tactique FTP
  • Les Allemands : une cible secondaire ?
• 9. Des tâches spéciales. Des groupes spéciaux ?
  • Les groupes spéciaux de la région parisienne
  • Des FTP triés sur le volet
  • « Je [ne] serai pas tendre pour tous ces salauds »
  • Voler : une seconde tâche spéciale pour les GS FTP
  • De la difficulté de « cracher des flammes » lorsque les conditions ne sont pas réunies
  • » Il faut absolument […] faire des traîtres « et » poser avec force la question fric « à tous les FTP
  • Premier bilan en région parisienne 
  • Un « mélange de terrorisme et de banditisme pur » en province ?
• Conclusion
• Sources
  • I. Archives de la répression
    • A. Archives de la préfecture de police de Paris (APP)
    • B. Archives départementales des Yvelines (ADY), Saint-Quentin-en-Yvelines
    • C. Archives nationales, Paris et Fontainebleau
    • D. Archives de Paris (ADP) :
    •  E. Archives de la justice militaire (AJM), Le Blanc (Indre)
    • F. Bureau des archives des victimes des conflits contemporains (BAVCC), Caen
    • G. Archives départementales en province
  • II. Autres fonds (historiens, militants, PCF , dossiers résistants)
    • A. Archives nationales (AN), Paris et Fontainebleau
    • B. Institut d’histoire du temps présent (IHTP), Paris
    • D. Musée national de la Résistance (MNR), Champigny-sur-Marne
    • E. Centre d’histoire de l’Europe du XXe  siècle (IEP de Paris)
    •   F. BDIC, Nanterre
    • G. Institut d’histoire sociale, Nanterre
    • H. Archives départementales de Seine-Saint-Denis, Bobigny :
    • I. Service historique de la défense (SHD), Vincennes
  • Entretiens
  • OUTILS (SOURCES, DICTIONNAIRES)
  • OUVRAGES, ARTICLES ET ÉTUDES UNIVERSITAIRES
  • TÉMOIGNAGES, THÈSES, ÉTUDES ET OUVRAGES CONTEMPORAINS À VALEUR DE SOURCES
• Remerciements