Faux pas Maria Adolfsson Anna Postel (trad.)

Résumé

Dans les brumes du Doggerland, ces îles que menace l'océan, personne n'est tout à fait innocent... C'est le lendemain de la grande fête de l'huître à Heimö, l'île principale du Doggerland. L'inspectrice Karen Eiken Hornby se réveille dans une chambre d'hôtel avec une gueule de bois légendaire, et, à son plus grand regret, au côté de son chef, avec qui les relations ne sont pas au beau fixe. Au même moment, une femme est découverte assassinée. Karen est chargée de l'enquête, qui se révèle on ne peut plus délicate quand elle découvre que son chef a été marié à la victime... S'il est, à ce titre, le premier suspect, hors de question pour l'inspectrice de révéler, pour l'innocenter, cette nuit passée avec lui. ll lui faudra alors agir vite et avec précaution, au risque de déchirer cette petite communauté en apparence si unie.

Auteur :
Adolfsson, Maria
Traducteur :
Postel, Anna
Éditeur :
Paris, Denoel,
Collection :
Doggerland
Genre :
Thriller
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (515 p.)
ISBN :
9782207143155.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • 1 Avant même d’ouvrir les yeux...
  • 2 La porte de la chambre 507...
  • 3 — Est-ce qu’on peut vous aider...
  • 4 L’autoroute qui mène de Dunker à Langevik...
  • 5 Le bruit vient de loin...
  • 6 Karen garde le silence pendant plusieurs secondes...
  • 7 Karen s’arrête derrière les véhicules...
  • 8 Au rayon surgelés du supermarché...
  • 9 La maison de Harald Steen se trouve...
  • 10 Karen roule vers Dunker...
  • 11 — Je te sers ? demande Jounas...
  • 12 Per Lindgren se penche en arrière...
    • Langevik, mars 1970
  • 13 Deux des six étages seulement...
  • 14 Dix minutes plus tard...
  • 15 Au volant de sa voiture...
  • 16 Penchée en avant, les mains calées...
  • 17 — Mais qu’elle se lève, bon sang !...
    • Langevik, 1970
  • 18 Les jambes endolories et les cheveux encore humides...
  • 19 La cage d’escalier du 48...
  • 20 Ils prennent l’ascenseur en silence...
  • 21 Au moment où Karl Björken s’engouffre...
  • 22 Il est étendu sur une chaise longue...
  • 23 Avec un pincement au coeur...
  • 24 Lorsqu’ils se retrouvent à nouveau...
  • 25 Il fait nuit noire et les phares des voitures...
  • 26 Quarante-cinq minutes plus tard...
  • 27 — Attends, je vais t’aider...
  • 28 — Mais alors Smeed devrait pouvoir...
  • 29 — Jamais je n’aurais cru que nous aurions...
    • Langevik, mai 1970
  • 30 Au moment où elle pose la main sur la poignée...
  • 31 Karen observe le jeune réceptionniste...
  • 32 Quelques minutes plus tard...
  • 33 L’autoroute de Dunker à Ravenby traverse...
  • 34 — Bienvenue ! s’écrie Wenche Hellevik...
  • 35 Devant la fenêtre, Karen regarde...
  • 36 Vingt minutes plus tard...
  • 37 À peine a-t-elle franchi le seuil...
  • 38 Karen possède trois ou quatre albums photo...
  • 39 Son coeur est serré dans un étau...
    • Langevik, août 1970
  • 40 — Sérieusement, qui fait de la randonnée...
  • 41 — Cinq numéros seulement reviennent...
  • 42 Karen quitte l’autoroute et se dirige...
  • 43 La rue de la Filature semble déserte...
  • 44 Son téléphone sonne au moment...
  • 45 — Magnifique ! J’appelle Jounas...
  • 46 À 15 h 40, le vendredi après-midi...
  • 47 La climatisation dans la salle de réunion...
  • 48 L’église de Langevik n’est pas comble...
  • 49 Karen hisse le seau plein de moules...
  • 50 Une heure et demie plus tard...
  • 51 Le fracas du verre dans le conteneur...
  • 52 Depuis maintenant une semaine...
  • 53 Il est déjà assis à son bureau...
  • 54 Karen clique sur la souris...
  • 55 Sigrid est assise dans la cuisine...
  • 56 Un avis de recherche a été lancé...
  • 57 Il ne fait plus aucun doute...
  • 58 En temps normal, il ne faut pas...
  • 59 La pluie a cessé. La faible lueur de la lune passe...
  • 60 Bien que la pluie ait cessé...
  • 61 Karen replace la pile de documents...
  • 62 — Je vais m’en griller une, tu m’accompagnes ?...
  • 63 La lenteur et la prudence de Sigrid au volant...
  • 64 — Je t’ai vue à La Corde hier soir...
  • 65 Karen Eiken Hornby n’a pas bronché...
  • 66 Qui diable est cette Anne Crosby ?...
  • 67 — Ça ne peut plus durer...
    • Langevik, 1971
  • 68 Karen sort du Hare and the Crow...
  • 69 En passant le seuil de la vieille maison...
  • 70 L’odeur de cumin est aussi persistante...
  • 71 On entend les mouches voler dans la cuisine...
  • 72 Karen allume l’enregistreur et annonce...
  • 73 — Et vous, Karen, qu’est-ce que vous en pensez ?...
  • 74 — Alors comme ça, tu quittes le navire...
  • 75 Au moment où Karen sort sa clef de voiture...
  • 76 — Tu ne remarqueras même pas...
  • 77 À l’étage, les bruits se sont tus...
  • 78 Ça par exemple ! La voilà déjà qui me fait faux bond...
  • 79 Evald Johannisen interroge sa femme...
  • 80 Les néons du corridor est du troisième étage...
  • 81 Cinq minutes plus tard...
  • 82 — Bonsoir et bienvenue chez Dogger Lines...
  • 83 Toujours accroupie, Karen profère...
  • 84 Très précisément vingt-six minutes...
  • 85 Au prix de grands efforts, Karen pousse la porte...
  • 86 Karl Björken aperçoit le nom au moment...
  • 87 Elle sent d’abord le froid...
  • 88 On dirait que quelqu’un joue...
  • 89 Ils viennent tous à l’hôpital...
  • 90 Puis les collègues débarquent...
  • 91 Le huitième jour, Jounas Smeed se tient...
  • Épilogue
  • Présentation
    Dans les brumes du Doggerland, ces îles que menace l’océan, personne n’est tout à fait innocent.

Commentaires

policier que je n'ai pas lâché jusqu'à la fin

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