Oeuvres complètes - Tome 3 Roberto Bolaño

Résumé

"Un écrivain doit être l'ami de ses démons ou de ses anges [...], il doit être ami de l'aventure, des bibliothèques et de ceux qui ne peuvent pas parler, des humiliés, des morts, des innocents, des enfants."

Auteur :
Bolaño, Roberto
Éditeur :
Paris, L'Olivier,
Genre :
Roman
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (990 p.)
ISBN :
9782823613056.
Domaine public :
Non
Téléchargement du livre au format PDF pour « Oeuvres complètes - Tome 3 »

Table des matières

  • LA PISTE DE GLACE
    • Remo Morán : La première fois que je l’ai vu c’était rue Bucareli
    • Gaspar Heredia : C’est au milieu du printemps que je suis arrivé
    • Enric Rosquelles : Jusqu’à ces dernières années mon caractère était proverbialement paisible
    • Remo Morán : Je reconnais qu’en mai j’ai donné du travail à Gaspar Heredia
    • Gaspar Heredia : Stella Maris, c’était son nom
    • Enric Rosquelles : Je sais que tout ce que je dirai ne fera que contribuer à m’enfoncer
    • Remo Morán : Il est désormais inutile que je tente de résoudre ce qui n’a pas de solution
    • Gaspar Heredia : Parfois, quand je jetais un coup d’œil à l’extérieur du camping
    • Enric Rosquelles : On dit que Benvingut a émigré à la fin du siècle passé
    • Remo Morán : J’ai connu Lola dans des circonstances extraordinaires
    • Gaspar Heredia : La chanteuse d’opéra n’a jamais été logée
    • Enric Rosquelles : J’ai trouvé un plombier, un éclairagiste, un menuisier
    • Remo Morán : J’ai fait la connaissance de Nuria grâce à l’Association écologiste de Z
    • Gaspar Heredia : J’ai commencé à prendre l’habitude de traîner en ville
    • Enric Rosquelles : Je laissais la voiture garée sous la vieille treille
    • Remo Morán : De la deuxième visite de Nuria à l’hôtel
    • Gaspar Heredia : La musique qu’on entendait, c’était La Danse du feu
    • Enric Rosquelles : On a commencé les entraînements au début de l’été
    • Remo Morán : Un jour Rosquelles a vu la bicyclette de Nuria dans la rue
    • Gaspar Heredia : Il était improbable que les patrons se montrent au camping
    • Enric Rosquelles : Comment croyez-vous que je me sois senti quand j’ai su
    • Remo Morán : J’ai décidé d’aller chercher Nuria chez elle
    • Gaspar Heredia : Je suis un conscrit dans cette ville de l’enfer, a dit le Recluta
    • Enric Rosquelles : J’ai toujours senti qu’on me lançait des regards chargés de ressentiment
    • Remo Morán : Les jours qui ont précédé la découverte du cadavre
    • Gaspar Heredia : J’ai observé de loin Carmen et le Recluta au bord de la mer
    • Enric Rosquelles : Malheureusement, après le dîner, nous sommes allés dans une discothèque
    • Remo Morán : La vieille est une collègue à toi
    • Gaspar Heredia : Après que le gros et la patineuse sont partis
    • Enric Rosquelles : Le lendemain de la fête dans la discothèque
    • Remo Morán : À dix heures pile du matin, j’ai pris la voiture et je suis parti
    • Gaspar Heredia : Jusqu’à ce que le Carajillo finisse par s’endormir, nous avons parlé de femmes
    • Enric Rosquelles : L’après-midi, Pilar m’a téléphoné au bureau pour m’informer
    • Remo Morán : Les policiers étaient jeunes et n’avaient pas l’air très malins
    • Gaspar Heredia : Caridad s’était assez bien adaptée à la vie du camping
    • Enric Rosquelles : Je jure que je ne l’ai pas tuée
    • Remo Morán : Les journaux et les revues l’ont fait connaître
    • Gaspar Heredia : La police est venue deux fois au camping
    • Enric Rosquelles : À part ma mère et quelques tantes ou cousins
    • Remo Morán : On ne peut pas pactiser avec Dieu et avec le diable en même temps
    • Gaspar Heredia : Une nuit il y a eu du grabuge à la terrasse du bar
    • Enric Rosquelles : Romans offerts
    • Remo Morán : Ça me fout en l’air de voir les gens partir comme ça
    • Gaspar Heredia : Une semaine nous séparait de notre départ
    • Enric Rosquelles : J’ai été libéré une semaine après
    • Remo Morán : C’est moi qui l’ai tuée, chef, m’a dit le Recluta
    • Gaspar Heredia : Nous avons pris le train pour Barcelone un après-midi nuageux
    • Enric Rosquelles : Quand finalement je suis revenu à Z, tout était si différent
  • LE TROISIÈME REICH
    • 20 août
    • 21 août
    • 22 août
    • 23 août
    • 24 août
    • 25 août
    • 26 août
    • 27 août
    • 28 août
    • 29 août
    • 30 août
    • 31 août
    • 1er septembre
    • 2 septembre
    • 3 septembre
    • 4 septembre
    • 5 septembre
    • 6 septembre
    • 7 septembre
    • 8 septembre
    • 9 septembre
    • 10 septembre
    • 11 septembre
    • 12 septembre
    • Printemps 1942
    • 14 septembre
    • Anzio. Fortress Europa. Omaha Beachhead. Été 1942
    • Avec le Loup et l’Agneau
    • Mes Généraux favoris
    • Automne 1942. Hiver 1942
    • 17 septembre
    • 18 septembre
    • 19 septembre
    • 20 septembre
    • 21 septembre
    • 22 septembre
    • 23 septembre
    • 24 septembre
    • 25 septembre. Bar Casanova. La Jonquera
    • 30 septembre
    • Ingeborg
    • Hanna
    • 20 octobre
    • Von Seeckt
    • Frau Else
    • Le congrès
    • Note sur la composition de l’ouvrage
    • COLLABORATIONS DE PRESSE
      • Le stridentisme*
        • Manifeste stridentiste
          • ET AFFIRMONS :
          • CHIONS :
          • PROCLAMONS :
        • Vive le mole de dinde !
      • La nouvelle poésie latino-américaine : crise ou renaissance ?*
        • Antécédents de la nouvelle poésie
        • Avancées et reculs
        • Possible avant-garde et contexte sociopolitique
      • Qui a le courage ?
      • Conseils sur l’art d’écrire des nouvelles
      • Dimas Luna, prince
      • Conte de Noël à Blanes
      • La meilleure bande
      • Le fantôme d’Àngel Planells
      • Une maison pour toujours
      • Le rhapsode de Blanes
      • Fragments d’un retour au pays natal
        • L’invitation
        • Le voyage
        • Une pute est de retour
        • Les visages
        • Le bal commence
        • À peine arrivé, je me sens chez moi
          • CONVERSATIONS TÉLÉPHONIQUES AVEC PEDRO LEMEBEL
        • Le gros journaliste
          • LA LITTÉRATURE CHILIENNE
        • Rodrigo Pinto
        • Femmes de lettres
        • Santiago
        • Tous des écrivains
        • Nicanor Parra et adieu au Chili
      • Paroles de l’espace extérieur
      • L’hiver des lectrices
      • L’ancêtre
      • Les pâtissiers
      • Les inventeurs délirants
      • Le courage
      • Wilcock
      • La libraire
      • Tomeo
      • Ernesto Cardenal
      • Les livres de mémoires
      • Le printemps à Blanes
      • L’incroyable César Aira
      • Le couloir sans issue apparente
      • Un après-midi avec Huidobro et Parra
      • Souvenirs de Juan Villoro
      • Ferdydurke en catalan
      • Sara et Steva
      • Le stylet de Rodrigo Rey Rosa
      • Berlin
      • Lichtenberg face à la mort
      • Civilisation
      • Olvido García Valdés, poétesse
      • Roberto Brodsky
      • Puigdevall, le bizarre
      • Histoires de juillet
      • Javier Cercas est de retour chez lui
      • Soleil et crâne de mort
      • Le vaillant bibliothécaire
      • Borges et les corbeaux
      • Sinaloa Story
      • A. G. Porta
      • L’âme vendue au diable
      • Ils sont bizarres, les amis
      • Osvaldo Lamborghini : martyr
      • Neruda
      • Hannibal, de Thomas Harris
      • La poésie chilienne et l’exposition aux intempéries
      • Le mystère transparent de José Donoso
      • Mosley
      • Avions
      • Le siècle de Grass
      • Burroughs
      • La Selva Marítima
      • Pezoa Véliz
      • Pinochet et Crusoé*
      • Neuman, touché par la grâce
      • Miguel Casado : poète
      • Le dernier livre de Vila-Matas
      • Ana María Navales
      • Castellanos Moya*
      • Les Hell’s Angels
      • Sergio Pitol
      • Vienne et l’ombre d’une femme
      • Le roman comme puzzle
      • Une nouvelle parfaite
      • Alphonse Daudet
      • Jonathan Swift
      • À la recherche du Torico de Teruel
      • Un narrateur dans l’intimité
      • Un roman de Tourguéniev
      • Horacio Castellanos Moya : la quête du style
      • Borges et Paracelse
      • Le dernier roman de Javier Cercas
      • Braque : Le Jour et la Nuit
      • Il Sodoma
      • Auteurs qui s’éloignent
      • Philip K. Dick
      • Le livre qui survit
      • Méridien de sang
      • Troubadours
      • Herralde
      • Conjectures sur une phrase de Breton
      • Tentative d’épuiser les mécènes
      • Le dernier endroit sur la carte
      • Les paroles et les gestes
      • Une promenade dans l’abîme
      • Sur la littérature, le Prix national de littérature et les rares consolations du métier
      • Jim
      • Le suicide de Gabriel Ferrater
      • Rodrigo Rey Rosa au Mali, je crois
      • Quelques paroles pour Enrique Lihn
      • Tous les sujets avec Fresán
      • Souvenirs de Los Angeles
      • Sur le virus très répandu de l’écrivain ami du président*
      • Autobiographies : Amis & Ellroy
      • Cet étrange M. Alan Pauls
      • Javier Aspurúa à ses propres funérailles
      • Pour arriver vraiment à Madrid
      • Le Bukowski de La Havane
      • Sergio González Rodríguez sous l’ouragan
      • 84, Charing Cross Road
      • Jaume Vallcorba et les prix
      • Le Titien fait le portrait d’un homme malade
      • Pages écrites sur l’échelle de Jacob
      • La traduction est une enclume
      • L’humour sur le palier
      • La littérature chilienne
      • En vol avec Lauda Air*
    • DISCOURS ET CONFÉRENCES
      • Discours de Caracas
      • Littérature et exil
      • Dérives de la pesada
      • Séville me tue
    • LECTURES ET RELECTURES
      • Ahora mismo hablaba contigo, Vallejo, par Carlos Henderson*
      • Islas a la deriva, par José Emilio Pacheco*
      • Juicio final/Andante, par Beltrán Morales*
      • Quittez tout, de nouveau : premier manifeste du mouvement infraréaliste*
      • Sur Xavier Sabater*
      • « Le métier, cet étrange réconfort… »*
      • Une relecture*
      • Notes sur la poésie d’Orlando Guillén*
      • Dans la salle de lecture de l’Enfer*
      • De l’inutilité*
      • Exils
      • Lectures avant de rentrer au Chili*
        • 1. Une vision
        • 2. Les nouvelles
        • 3. Le lecteur demande pardon
      • Notes autour de Jaime Bayly
      • [Le prix Romulo-Gallegos]
        • Autoportrait
        • À propos des Détectives sauvages
      • Notre guide dans le défilé
      • Une modeste proposition
      • Les Chiots, une fois de plus
      • Pimentel dans le souvenir*
      • Bomarzo
      • Huit secondes avec Nicanor Parra
      • Le début de l’Apocalypse
      • Sur Bruno Montané
      • Le man revient au Venezuela*
      • Ceux qui sont perdus
      • Intempéries
  • Sources
    • Collaborations de presse
    • Discours et conférences
    • Lectures et relectures

Commentaires

Laisser un commentaire sur ce livre