On déroule une belle et bonne histoire entre de richissimes propriétés, sur cette dernière on dépose de fameux personnages déjà rencontrés dans d'autres histoires, fameuses elles aussi. Des femmes, pulpeuses et diaphanes, je pense à vous kate Bush! aux cheveux soyeux et vaporeux, au décolleté profond cascadant sur des vallons enneigés, aux jambes interminables remontant vers un humide bosquet, ^à une chute de reins promettant une croupe incendiaire, et à la plastique faisant pâlir marylin, et oui! cinquante ans après, elle prévaut encore, comme dit daniel. Les hommes, de simples loufias, taillés en V, à faire passer johnny Weissmuller pour un avorton, malingre et asthmatique, des épaules carrées et larges, rappelant les nageuses de l'ex Allemagne de l'est, et avec ça, des yeux de braise! c'est con! la braise c'est orange, mais si les oranges ne sont pas mûres, me direz vous, ils ont le regard céladon. Et pour pimenter tout cela, des corps à corps tellement floutés par la pudeur et la mièvrerie qu'ils en paraissent insignifiants. En résumé, un roman à la trame intéressante, mais avec des protagonistes trop convenus. Marc.