La criminologie pour les nuls Alain Bauer, Christophe Soullez

Résumé

Vous êtes fasciné par la criminologie, la police scientifique et le travail d'enquête? Ce guide vous entraîne dans les profondeurs du monde du crime, et vous offre une meilleure compréhension des sombres recoins de l'esprit criminel et des moyens d'action des défenseurs de la loi. Vous comprendrez ce qu'est un crime, comment le mesurer, et ses conséquences sur les victimes et la société en général. Vous explorerez les différentes théories qui cherchent à expliquer pourquoi les individus commettent des crimes. Vous identifierez les différents types de crimes, du crime en col blanc au crime organisé ou au terrorisme. Vous suivrez les policiers pendant qu'ils poursuivent et arrêtent les criminels. En somme, vous découvrirez les véritables motivations du crime, la façon dont la société réagit face à cette menace, et, surtout, les moyens de limiter son expansion.

Auteur :
Bauer, Alain
Auteur :
Soullez, Christophe
Éditeur :
Paris, First,
Genre :
Documentaire
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (463 p.)
ISBN :
9782754031622.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • Mentions légales.
  • À propos de ce livre numérique.
  • Quatrième de couverture.
  • Sommaire.
  • À propos des auteurs.
    • Alain Bauer.
    • Christophe Soullez. .
  • Introduction.
    • À propos de ce livre.
    • Les conventions utilisées dans ce livre.
    • Comment ce livre est organisé.
      • Première partie : Crime, criminels et criminologie.
      • Deuxième partie : Penser le crime.
      • Troisième partie : Connaître et compter le crime.
      • Quatrième partie : Les grands phénomènes criminels.
      • Cinquième partie : Prévenir et combattre le crime.
      • Sixième partie : La partie des Dix.
      • Septième partie : Annexes.
      • Et maintenant, par où commencer ?
  • Première partie.Crime, criminels et criminologie.
    • Chapitre 1. Le crime, un phénomène complexe.
      • La relativité du crime.
      • Le crime comme déviance.
        • Définition.
        • La déviance : une étiquette.
        • Le crime comme trouble à l’ordre social.
      • Une construction juridique.
        • Un acte prévu par des textes.
        • Le crime en droit français.
      • Crime ou crimes ?
        • Le crime selon le mobile.
        • Le crime selon le comportement criminel.
        • Le crime en fonction du nombre de participants.
        • Les crimes selon leur gravité.
    • Chapitre 2. Les criminels, des individus souvent tourmentés.
      • Les typologies criminelles.
        • Les caractéristiques biopsychologiques.
        • Les typologies de nature sociologique.
        • La typologie mixte de Seelig.
      • Les grands types de criminels.
        • Les délinquants « anormaux ».
          • L’aliénation.
          • Les déficients mentaux.
          • Les caractériels.
          • Les pervers.
          • Les alcooliques et les toxicomanes.
        • Le criminel d’occasion ou d’habitude.
        • Délinquants juvéniles et adultes délinquants.
      • Les tueurs en série.
        • Des statistiques partielles.
        • Meurtrier de masse et tueur compulsif.
        • La typologie des tueurs en série.
          • Le tueur organisé.
          • Le tueur désorganisé.
        • Les caractéristiques des tueurs en série.
        • Esprits criminels.
    • Chapitre 3. La criminologie, une discipline enfin reconnue.
      • Un objet en recherche d’identification.
        • De multiples définitions.
        • Un « Babel criminologique ».
        • Les précurseurs.
        • Quel objet ?
      • Un domaine perméable.
        • À côté du droit pénal.
        • Criminologie et criminalistique.
        • Science pénitentiaire et criminologie.
        • Criminologie et sociologie pénale.
      • Un contenu foisonnant.
        • À la croisée des sciences.
        • Une discipline autonome ou éclatée ?
        • Science appliquée ou fondamentale ?
      • La reconnaissance de la criminologie en France.
        • En France, une discipline qui s’impose lentement.
        • Une identification de la réalité contemporaine des phénomènes criminels.
        • Une approche géopolitique et globale des études criminelles.
        • Une étude des phénomènes criminels dans un esprit d’anticipation.
        • Une attention particulière portée aux risques peu visibles.
  • Deuxième partie. Penser le crime.
    • Chapitre 4. L'essor de la pensée criminologique au XIXe siècle.
      • Les précurseurs : l’école classique.
        • L’utilitarisme de Bentham.
        • Beccaria et le traité « Des délits et des peines ».
      • Les premières théories cliniques.
        • L’aliénation mentale de Philippe Pinel.
        • Gall et la phrénologie.
      • Les lois physiques.
        • Quételet et la statistique morale.
        • Guerry, l’initiateur de la cartographie criminelle.
      • L’école positiviste italienne.
        • Lombroso et la théorie du criminel né.
        • Garofalo et l’état dangereux.
        • Ferri et les débuts de la sociologie criminelle.
    • Chapitre 5. La pensée criminelle française au XIXe siècle.
      • Lacassagne et l’école de Lyon.
      • Tarde et l’imitation.
      • Durkheim et l’anomie.
    • Chapitre 6. Les théories criminologiques du XXe siècle.
      • Les théories biopsychologiques.
      • Les théories psychosociales.
        • La théorie marxiste-léniniste.
        • Les associations différentielles de Sutherland.
        • L’école de Chicago ou l’écologie urbaine.
        • Un espace défendable.
        • La tradition durkheimienne : l’anomie de Merton.
        • La théorie des conflits de culture de Sellin.
        • La théorie du lien social de Hirschi.
      • Les théories psychomorales.
        • Les explications psychanalytiques.
        • La conception clinique d’Étienne De Greeff.
        • La personnalité criminelle de Jean Pinatel.
        • La socialisation de Roger Mucchielli.
        • L’étude des carrières criminelles.
    • Chapitre 7. La réaction sociale au crime et les théories de l’acte criminel.
      • La réaction sociale à la déviance ou les constructivistes.
        • La relativité de la déviance.
        • La déviance comme construction de la société.
        • La stigmatisation.
        • La carrière.
        • Les fortes limites de la perspective interactionniste.
        • La criminologie critique.
      • La criminologie de l’acte.
        • La rationalité de l’acte criminel.
        • Le passage à l’acte criminel.
          • La personnalité comme stimulus du passage à l’acte.
          • Les conduites à risque.
          • La situation précriminelle.
          • La théorie des activités routinières.
          • Le concept de containment.
          • La théorie économique.
          • L’analyse stratégique de Maurice Cusson.
          • La théorie de la vitre brisée.
  • Troisième partie. Connaître et compter le crime.
    • Chapitre 8. Mesurer le crime.
      • Des statistiques utiles mais fragiles.
      • Des querelles sémantiques.
        • Criminalité ou délinquance ?
        • Qui décide ?
        • Une appréhension qui dépasse le seul traitement judiciaire.
      • La nature a horreur du vide.
        • Demandez des chiffres.
        • Comprendre le chiffre.
        • Répondre à des besoins variés.
      • À la recherche d’une définition.
        • Statistiques et droit ne font pas toujours bon ménage.
        • Le concept de délinquance n’a pas de sens statistique.
      • Le vrai-faux mystère du chiffre noir de la délinquance.
        • Un adjectif trompeur.
        • Une mesure indirecte.
      • L’approche multisources.
      • La statistique au service des politiques publiques.
        • Les acteurs de la statistique publique.
        • Mieux connaître les phénomènes criminels.
        • Évaluer l’impact d’une politique publique.
    • Chapitre 9. Quand les policiers comptent.
      • L’outil statistique policier : l’état 4001.
        • La méthode d'enregistrement.
        • Police et justice : des sources statistiques incompatibles.
      • Des données parcellaires.
        • Un outil exclusivement policier.
        • Contraventions et délits routiers exclus.
        • Exclusion de certains faits enregistrés en main courante.
      • Les limites de la statistique policière.
        • Un outil peu précis.
        • Le comportement de la victime.
        • La première qualification pénale.
        • Un enregistrement statistique variable dans le temps.
        • Une statistique portant sur le lieu d’enregistrement de la plainte.
        • Les pratiques d’enregistrement.
        • L’activité des services.
        • Une statistique liée à la création de nouvelles infractions.
        • L’évolution de la société et des mœurs.
      • L’interprétation de la statistique administrative.
        • Délinquance commise et délinquance enregistrée.
        • Une statistique qui ne peut être appréhendée comme un tout.
        • Une analyse par indicateurs.
      • Mis en cause et élucidation.
        • Le mis en cause.
        • L’élucidation.
      • Les gardes à vue.
    • Chapitre 10. Des enquêtes pour mieux connaître le crime.
      • Les enquêtes de victimation.
        • Définition.
        • Infractions retenues.
        • Indicateurs.
        • Objectifs.
          • Comparer avec les statistiques policières.
          • Décrire les réactions des victimes.
          • Préciser l’attitude de la victime à la suite de l’infraction.
          • Mieux connaître les caractéristiques des victimes.
          • Évaluer les conditions de recueil de la plainte.
          • Apprécier le sentiment d’insécurité ou les opinions sur l’action de la police.
          • Cibler des lieux.
        • Limites.
          • L’enquête de victimation ne porte pas sur la totalité des infractions.
          • Des résultats inhérents à la taille de l’échantillon.
          • Toute la population n’est pas prise en compte.
          • Surmonter les problèmes de mémoire.
          • L’effet perturbant de l’enquêteur.
      • Origines et évolution.
        • La National Crime Victimization Survey (N C V S).
        • La British Crime Survey (B C S).
        • La France et la victimation.
      • Les enquêtes sur les conditions de vie des ménages.
      • L’enquête « Cadre de vie et sécurité ».
        • Modalités.
        • Structure.
        • Une enquête représentative de la population.
      • Des enquêtes de victimation internationales.
        • L’International Crime Victimization Survey (I C V S).
        • Une enquête de victimation européenne.
      • L’enquête de victimation en milieu scolaire.
      • Les enquêtes de délinquance autorapportée.
        • Les États-Unis en pointe.
        • Des enquêtes internationales.
  • Quatrième partie. Les grands phénomènes criminels.
    • Chapitre 11. La pieuvre.
      • La mafia, une grande famille.
        • Intégrer la Famille.
        • Les réunions de famille.
        • Une famille et un territoire.
        • La Mafia italienne : la version originale.
          • La Camorra.
          • Sacra Corona Unita.
          • La ’Ndrangheta.
          • Cosa Nostra.
          • La Stidda.
      • Copies certifiées conformes.
        • La Cosa Nostra italo-américaine.
        • Les triades chinoises.
        • La mafia japonaise : les boryokudan.
        • La maffya turque.
        • Les mafias albanophones.
      • Des familles multicartes.
        • Des familles très protectrices.
        • Des familles très généreuses.
        • Une famille aimant les ordures.
        • Des familles dans le BTP.
      • Corruption et mafia.
    • Chapitre 12. Quand le crime organisé prospère.
      • Dis-moi qui tu es.
        • Les 11 critères du crime organisé.
        • Une entité vivante et en mutation permanente.
      • Le crime, étalon de la société économique libérale.
      • Planète criminelle.
        • Les cartels d’Amérique latine.
        • La fausse mafya russe.
        • Les "posses" jamaïquains.
        • Hells, Bandidos et Outlaws….
        • Les gangs américains.
          • Un peu d’histoire.
          • Les gangs de rue.
        • La prison comme école du crime.
      • La French connection.
        • La naissance du Milieu.
        • La Seconde Guerre mondiale : un accélérateur.
        • Le règne des beaux mecs.
        • La banlieue émerge.
        • Un Milieu en constante mutation.
        • Les nouvelles générations.
    • Chapitre 13. Le crime 2.0.
      • La cybercriminalité, un dynamique réseau « social ».
      • Deux milliards d’internautes et moi, et moi, et moi….
        • Liaisons fatales.
        • Légendes urbaines.
        • De la recherche de l’eldorado à l’esclavage.
        • Des amis qui ne vous veulent pas toujours du bien.
        • Le trafic de stupéfiants.
        • La dérive sectaire.
        • S’il vous plaît, cambriolez-moi !.
      • Quand les entreprises sont des cibles.
        • Sus aux faux Lacoste !.
        • Des droits tu paieras.
        • À la pêche aux sous.
          • La cyberdélinquance financière.
          • Les fraudes à la carte bancaire.
      • War games !.
      • À qui profite le crime ?
    • Chapitre 14. Quand les banlieues s’échauffent.
      • L’irruption de la violence urbaine aux États-Unis.
        • Gangs of New York.
        • Les émeutes raciales.
        • Les émeutes sociales.
      • En France, un phénomène pas si nouveau.
        • Des jacqueries aux émeutes.
        • Des territoires déjà difficiles d’accès.
        • 1979-1981, les banlieues s’enflamment.
        • 1981-2012 : 30 ans de violences dites « urbaines ».
          • Des années 1980 mouvementées.
          • 2005 : des émeutes à l’état d’urgence.
          • Les violences essaiment.
      • Un concept médiatique au contenu incertain.
        • Une absence de définition précise et partagée.
        • Des tentatives de définition.
          • La définition policière.
          • D’autres perceptions.
      • Mesurer les violences urbaines.
        • L’échelle d’évaluation de la violence urbaine.
        • Le système d’analyse informatique des violences urbaines.
        • L’indicateur national des violences urbaines.
      • Les caractéristiques du phénomène.
        • Des territoires sanctuarisés.
        • Des motivations variées.
          • Le jeu.
          • La recherche d’une confrontation à l’autorité.
          • Le mimétisme.
          • La protestation et la révolte.
          • Une réputation à défendre.
          • Des motivations personnelles.
      • Le mécanisme des émeutes.
        • Une émotion.
        • Un événement déclencheur.
        • Une identification à la victime.
        • La dynamique de l’émeute.
        • La rumeur.
      • Les évolutions.
        • Une extension territoriale ?
        • La dérive criminelle.
        • Au sein des manifestations de voie publique.
    • Chapitre 15. Le terrorisme, une menace diffuse toujours vivace.
      • Des terrorismes.
      • L’arme de la terreur.
        • Déclencher la peur.
        • Alimenter la peur.
        • Le choix des cibles.
        • Revendiquer.
        • Financer.
      • Les écoles de pensée terroristes.
        • Le populisme.
        • L’anarchisme.
        • Le nihilisme.
        • L’anticapitalisme.
        • L’antiterrorisme terroriste.
        • Les indépendantistes.
        • Le terrorisme d’État.
        • Le terrorisme salafiste.
      • Les évolutions du terrorisme.
        • La mue du terrorisme idéologique en Europe.
        • Le déclin du terrorisme séparatiste.
        • La mue du terrorisme d’État d’origine proche-orientale.
        • De nouvelles formes de terrorisme.
      • Les principales techniques terroristes.
        • Enlèvements et prises d’otages.
        • Les détournements d’avions ou de navires.
        • Les destructions d’avions.
        • Les attentats à l’explosif.
        • Les attaques armées.
        • L’assassinat terroriste.
      • Les nouvelles menaces terroristes.
        • Le terrorisme chimique et biologique.
        • Le terrorisme nucléaire.
        • Le terrorisme informatique ou cyberterrorisme.
        • Le terrorisme écologique.
    • Chapitre 16. Les violences.
      • Œil pour œil, dent pour dent.
      • Les théories explicatives de la violence.
        • Les théories biologiques.
          • Tel père, tel fils ?
          • Les théories neurologiques et hormonales.
        • Les théories psychologiques et psychanalytiques.
          • L’approche psychodynamique.
          • La théorie cognitivo-comportementale.
        • Les théories sociologiques.
          • Les théories de la tension.
          • La théorie de l’apprentissage social.
          • La théorie de la désorganisation sociale.
          • Les théories de la réaction sociale.
      • L’homicide comme indicateur de référence.
        • Un homicide ou des homicides ?
        • Les auteurs d’homicide.
          • Une infraction masculine.
          • 33 ans d’âge moyen.
          • De l’enfance à la vie adulte.
          • La situation sociale.
        • Les antécédents judiciaires des meurtriers.
        • Les comparaisons internationales du taux d’homicides.
      • Les violences intrafamiliales.
        • La violence conjugale.
        • Le profil psychologique du partenaire violent.
        • La maltraitance des enfants au sein de la famille.
          • Le droit de correction paternel.
          • Des chiffres encore trop élevés.
  • Cinquième partie. Prévenir et combattre le crime.
    • Chapitre 17. Vous avez demandé la police….
      • Aux origines de la police.
      • La police sur de nombreux fronts.
        • Restez en ordre.
        • Vous êtes recherché.
        • L’État veille et surveille.
      • La lutte contre le crime n’est pas qu’une affaire de police.
        • Écoute et visibilité.
        • Des contraintes budgétaires.
        • Un équilibre des missions à préserver.
        • Des efforts à poursuivre.
      • Des stratégies plus ou moins efficaces.
        • L’évaluation de l’action policière, une préoccupation récente.
          • Sur l’utilité des patrouilles préventives.
          • Sur la rapidité de l’intervention.
          • Sur l’enquête policière.
        • Les paradigmes policiers.
          • Cette philosophie policière a-t-elle eu un impact sur la criminalité ?
          • La police de résolution des problèmes.
          • Une résolution efficace ?
      • Les évaluations des tactiques ou interventions policières.
        • Évaluation des tactiques liées à la prévention policière.
          • Sensibiliser les écoliers.
          • À la recherche des criminels….
        • Évaluation des programmes d’intervention répressifs.
          • Les opérations coups de poing.
          • Interventions en cas de violence conjugale.
          • Sus au deal.
    • Chapitre 18. Les experts : la science au service de l’investigation.
      • Quelques notions.
        • La criminalistique au service de la preuve.
        • La police technique et la police scientifique.
      • Aux origines des experts….
        • Avant la police technique et scientifique, l’étude du corps.
        • L’aveu, reine des preuves.
        • Le bertillonnage.
        • La naissance de la police scientifique.
        • Une lente et chaotique structuration.
        • La révolution des années 1980.
      • Une organisation encore éclatée.
        • La police nationale.
          • Les services locaux.
          • Les services centraux.
        • La gendarmerie nationale.
        • Les vrais experts.
        • La gestion de scène de crime.
      • Les grandes disciplines.
        • Quand le corps livre ses secrets.
        • Avez-vous oublié quelque chose ?
        • Ouvrez la bouche….
          • Un profil génétique quasi unique.
          • Des tests aux fichiers.
        • Tirez-moi le portrait.
        • La balistique.
        • Quand les insectes donnent l’heure.
        • Donnez votre sang.
        • Allumer le feu : incendies et explosions.
    • Chapitre 19. Mieux vaut (parfois) prévenir que guérir.
      • La prévention de la délinquance.
        • La prévention sociale.
          • Agir sur les conditions de vie.
          • Prévention primaire, secondaire et tertiaire.
        • La prévention situationnelle.
          • Aux origines de la prévention situationnelle.
          • Des fondements criminologiques.
          • Une théorie pragmatique.
          • Les grands principes de la prévention situationnelle.
      • Big Brother is watching you.
        • De vifs débats.
        • Des débuts clandestins.
        • Un dispositif juridiquement encadré.
        • Quel impact sur le crime ?
          • Le principe de l’évaluation.
          • Des obstacles à l’évaluation.
          • Des retours d’expérience.
      • Petite histoire de la prévention hexagonale.
        • Réponses à la violence.
        • La prévention sociale émerge.
        • De nouvelles procédures contractuelles.
        • L’institutionnalisation de la politique de la Ville.
        • Un ministre chargé de la Ville.
        • Un contrat pour la Ville.
        • Le pacte de relance pour la Ville.
        • La prévention situationnelle se développe.
        • La prévention, entre politique de la Ville et sécurité.
        • La refondation de la politique de la Ville.
        • La loi sur la prévention de la délinquance de 2007.
        • Le plan de prévention de la délinquance de 2009.
      • Le partenariat.
        • Les structures nationales.
          • L’Agence nationale de rénovation urbaine.
          • L’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances.
          • Le comité interministériel de Prévention de la délinquance.
        • Les structures partenariales.
          • Le comité départemental de sécurité.
          • Le conseil départemental de prévention.
          • Le conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance.
    • Chapitre 20. Qui aime bien châtie bien.
      • La peine.
      • Les six règles de la punition selon Michel Foucault.
        • La règle de la quantité minimale.
        • La règle de l’idéalité suffisante.
        • La règle des effets latéraux.
        • La règle de la certitude parfaite.
        • La règle de la vérité commune.
        • La règle de la spécification optimale.
      • La peine : utile ou superfétatoire ?
        • Une longue évolution.
        • Le sens de la peine.
        • Une peine utile.
        • Les finalités de la peine.
      • L’efficacité de la sanction pénale.
        • La certitude de la peine.
        • Une peine proportionnée et individualisée.
        • La menace de la peine.
  • Sixième partie. La partie des Dix.
    • Chapitre 21. Dix grands policiers.
      • Gabriel Nicolas de La Reynie, le précurseur.
      • Charles Louis Schulmeister, l’espion de Napoléon.
      • Eugène-François Vidocq, bagnard, policier, détective….
      • Louis Canler, le chasseur.
      • Célestin Hennion, le réformateur.
      • Marcel Guillaume, l’inspirateur de Jules Maigret.
      • Jules Belin, le mobilard.
      • Jean Philippe, le juste.
      • Michel Hacq, le résistant.
      • François Le Mouël, le fondateur de l’antigang.
    • Chapitre 22. Dix acteurs de la prévention et de la lutte contre le crime.
      • La police judiciaire.
      • La sécurité publique.
      • La préfecture de police.
      • La gendarmerie nationale.
      • Le procureur de la République.
      • Le juge d’instruction.
      • Les magistrats du siège.
      • L’administration pénitentiaire.
      • Les polices municipales.
      • La sécurité privée.
    • Chapitre 23. Dix réformes majeures.
      • L’ordonnance criminelle de 1670.
      • La loi révolutionnaire des 16 et 24 août 1790.
      • Le Code pénal de 1791.
      • Les codes napoléoniens.
      • Le Code de procédure pénale de 1957.
      • Les réformes judiciaires de 1993, le Nouveau Code pénal… et la présomption d’innocence.
      • L’édit du 15 mars 1667.
      • Les lois du 23 avril 1941 et du 10 juillet 1966.
      • La loi de modernisation de la police nationale du 7 août 1985.
      • Les lois d’orientation et de programmation relatives à la sécurité des 21 janvier 1995 et 29 août 2002.
  • Bibliographie.
  • Index.
  • Fin de la lecture de :

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