Votre recherche “Auteur: Bret Easton Ellis” 5 résultats 
Ajouter à une liste
Éditeur :
Robert Laffont, impr. 2005
"On se souvient des personnages décadents Patrick Bateman (American Psycho) et Victor Ward (Glamorama), des paradis artificiels, de la gloire et de la violence qui étaient au cœur de leurs expériences. Comme s’il s’agissait d’écarter une réputation sulfureuse, mêlant ses propres souvenirs, ses démons et les personnages qui peuplent ses précédents textes, Ellis décide avec "Lunar Park" d’incarner ...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
R. Laffont, impr. 2010
Clay, l’anti-héros du premier best-seller de Ellis, Moins que zéro, revient à Los Angeles. Il a vingt ans de plus, il est un peu plus vieux, un peu plus seul et désoeuvré. Il retrouve ceux qu’il a connus dans sa jeunesse, Blair, Trent, Julian, Rip… les représentants d’une génération dorée et perdue, abandonnés à la vacuité, la solitude et la vanité qui les détruisent. Producteur associé à l’adapt...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
R. Laffont, impr. 2010
Clay, l’anti-héros du premier best-seller de Ellis, Moins que zéro, revient à Los Angeles. Il a vingt ans de plus, il est un peu plus vieux, un peu plus seul et désoeuvré. Il retrouve ceux qu’il a connus dans sa jeunesse, Blair, Trent, Julian, Rip… les représentants d’une génération dorée et perdue, abandonnés à la vacuité, la solitude et la vanité qui les détruisent. Producteur associé à l’adapt...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
R. Laffont, impr. 2005
Dans Lunar Park, Bret Easton Ellis, enfant terrible des lettres américaines, pense que les madeleines de Proust sont des mandarines, que sa maison d'Elsinore Lane est hantée, que le spectre est son père mort et peut-être aussi Patrick Bateman, le tueur d'American Psycho, que la moquette "pousse" dans la salle de séjour, qu'un coeur bat sous "la peau" d'un oiseau en peluche appelé Terby, que les f...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Robert Laffont, 2019
Que raconte White, première expérience de " non-fiction " pour Bret Easton Ellis ? Tout et rien. " Tout dire sur rien et ne rien dire surtout " pourrait être la formule impossible, à la Warhol, susceptible de condenser ce livre, d'en exprimer les contradictions, d'en camoufler les intentions. White est aussi ironique que Moins que zéro, aussi glaçant qu'American Psycho, aussi menaçant que Glamora...(Lire la suite)