La frivolité est une affaire sérieuse : 99 essais Frédéric Beigbeder

Résumé

Une sélection d'articles et textes de F. Beigbeder écrits depuis le débuts des années 80 avec comme point de repère l'année 2015 et les attentats après lesquels il s'est découvert être un auteur engagé et militant de la futilité et non plus un être superficiel et frivole.

Auteur :
Beigbeder, Frédéric
Éditeur :
Paris, Editions de l'Observatoire,
Genre :
Chronique
Langue :
français.
Description du livre original :
1 vol. (200 p.)
ISBN :
9791032904985.
Domaine public :
Non
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Table des matières

  • AVANT-PROPOS
    • AVANT 2015
      • Frank le patron
      • Gracq ou Sagan ? Choisis ton camp
      • Nostalgie de la prohibition
      • Ma dure vie de rédactrice de mode
      • La Fashion Semaine
      • Les Biopuzz
      • Gagner du temps
      • Cache ta joie
      • Il faut toujours être snob
      • Ben Johnson, le surhomme déchu
      • La solitude des sommets
      • Une romantique apocalypse
      • Plaidoyer pour les éditeurs
      • Le réalisme est un humanisme
      • L’écrivain de festival
      • Socrate avec un GPS
      • Range ta chambre, Écrivain
      • Faire de sa mort une œuvre d’art
      • La lettre que Jocelyn ne lira pas
      • Littéraire attitude
      • J’ai rencontré Angélique,
        marquise des anges
      • Le Onze Septembre a-t-il changé
        la littérature ?
      • Les rêveries du fêtard solitaire
      • L’importance de la météo
      • Le livre que j’aimerais lire
      • J’ignore laquelle est la vraie
      • Spleen à Francfort
      • La mort du roman sera aussi la tienne
      • Jean-Jacques Brochier
        (1937-2004)
      • La crise littéraire
      • L’Urgence et la Patience
      • Zadie et Odradek
      • Une beauté radieuse
      • L’icône geek
      • Le Mailer d’entre nous
      • Le confort tue lentement
      • Dernier breakfast au Plaza
      • Le dernier salon où l’on n’écrit pas
      • Le cèdre du Jardin des Plantes
      • Le Principe d’insouciance
      • Le syndrome Susan Boyle
      • Éloge de l’aigreur
      • Le rêve américain
      • Le totalitarisme du Moonwalk
      • La méthode Weyergans
      • Une page d’espoir
      • Los Angeles :
        inspiration et expiration
      • La vodka du diable
      • L’adieu aux albums
      • Vahina n’est pas d’ici
      • Les années 1990 craignaient-elles ?
      • Moi, Frédéric B.,
        personnage de roman
      • Je suis un vieux Francais
      • Canal+ et Moi
      • La faute à Fitzgerald
      • Comment je ne me suis pas disputé
        (Ma vie littéraire)
      • Parisfornication
      • Littérature tropézienne
      • Les écrivains-buveurs
      • Un débat interdit
    • PENDANT 2015
      • Janvier
      • Novembre
      • Paris reste une fête
    • APRÈS 2015
      • Autocritique
      • La seconde d’après
      • Sympathy for the Brindille
      • Lettre aux Espagnols
      • Les défauts des Espagnols
      • Les algorithmes
        et Eduardo Mendoza
      • Acclamons la parole de Rihanna
      • Je vous salue Marie
      • L’héroïsme des discothèques
      • Je suis Vicky Cristina
      • Manuel de survie
        sous la menace terroriste
      • L’affaire Weinstein par Modiano
      • Justice expéditive
      • Raquel exagère
      • Le contrat de sexe
      • I Love You Woody
      • Cybersex
      • Les valeurs que nous défendons
      • Deux ans déjà
      • Personne n’est innocent
      • Jean d’Ormesson
        a gâché mes vacances
      • La folie dure
      • La guerre des habits
      • Le championnat du monde
        de l’orgasme
      • Manifeste Reboot
      • Save the Nipple
      • Mauvais Genre
      • La fin de mon travail
      • Pour saluer Molinier
      • L’appel du 2 novembre 2017
        contre les réseaux sociaux
      • La drague à l’heure de #metoo
      • Une frayeur grosse comme le Ritz
      • Lettre à mon futur fils
      • Mélancolie de la victoire,
        Moscou, le 15 juillet 2018
      • Jours tranquilles à Neuilly
      • Ma première fiction
    • Remerciements à
    • Table des matières

Commentaires

Sacré BEIGBEDER ! Il a beau se démener comme un beau diable, il EST un écrivain ! Il a un ton, une petite musique qui souffle sur les miasmes du penser-correct, et non seulement, c'est rafraîchissant et réjouissant, mais c'est aussi comme renouer, avec la LITTERATURE. La preuve ? j'y retournerai pour butiner à mon aise. Merci BNFA 27 OCTOBRE 2018

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